RÉPONDANTS EN ÉPARGNE COLLECTIVE
- Dans mon service, nous avons 30 % de travail de plus, et nous avons accru l’effectif de 35 % pour y faire face.
- La conformité est en effet un fardeau, dans le sens où nous disposons de moins de temps pour la relation avec le client.
- Nous avons dû doubler notre effectif à cause des exigences de la conformité, qui ont augmenté d’au moins 60 %.
- Pour ma part, je n’ai rien remarqué de différent sur ce plan.
- Auparavant, la conformité monopolisait environ 20 % de mon travail, aujourd’hui, c’est 75 % !
- Nos représentants sont quelque peu étouffés par la conformité. Au point où nous en sommes, je suis persuadé que cela peut être contre-productif.
- La conformité représente une augmentation de ma charge de travail de 50 %, et ce, dans toutes les tâches : documentation des dossiers, démarches, etc.
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- La charge de travail a littéralement doublé. Cela a eu des conséquences sur les embauches, qui ont été faites principalement en conformité.
- C’est tellement fou, ce qu’on nous demande aujourd’hui, que certains détails inutiles nous font passer à côté de l’essentiel.
- Je dirais que la conformité ne prend que 10 % de plus de mon temps. J’accueille donc cette augmentation de façon positive, car c’est une chose très importante pour l’industrie.
- Au cours des cinq dernières années, 14 personnes supplémentaires ont été embauchées.
- Actuellement, c’est moi qui suis responsable du fardeau de la réglementation. Les semaines sont plus remplies, car je travaille une demi-journée de plus par semaine ; nous devrons finalement embaucher une personne de plus.
- Je passe environ deux heures et demie par semaine sur la conformité pour mon cabinet. Tous les samedis matin, je me charge d’assurer la conformité de tous mes conseillers. Je dirais que je travaille au total cinq heures de plus par semaine.
- Ouvrir un dossier pour un client aujourd’hui demande deux fois plus de travail qu’il y a cinq ans.
- Nous nous sommes habitués à cette charge de travail supplémentaire, qui représente de 5 à 10 % de travail de plus pour la conformité.
- Même si la conformité est plus lourde, nous n’embaucherons personne pour autant. Au contraire, nous prévoyons des suppressions de postes.
- Nous l’avons si bien intégrée au fil des ans qu’il nous est difficile aujourd’hui de nous rendre compte du temps qu’elle nous demande.
- Nous ne sommes que trois, alors nous nous répartissons les tâches en conformité pour que ce soit équitable.
- Il y a trois ans, notre vérificateur en conformité travaillait à temps partiel. Aujourd’hui, il est à temps plein.
- Le temps alloué à la conformité a doublé, voire triplé dans certains cas.
- Je dirais que cela représente 10 % de volume de travail supplémentaire. Le nombre d’employés est resté stable, parce que nous avons fait des mises à jour régulièrement.
- Je viens d’une firme de courtage où la réglementation est beaucoup plus sévère, la conformité n’est donc pas un problème pour moi.
- La charge de travail a augmenté de 20 %, mais c’était nécessaire. J’aime mieux travailler pendant 20 % de plus plutôt que d’avoir des problèmes, après.
- Pour faire face à l’accroissement de la charge de travail, nous avons embauché deux personnes supplémentaires.
- L’augmentation de la masse salariale est nécessaire pour faire face à celle de la réglementation. Nous avons fait des restructurations de personnel et une redistribution des tâches.
- Je dirais que la charge de travail en conformité a doublé, ce qui donne de 30 à 40 % de travail supplémentaire au chef de la conformité, et 50 % de plus aux conseillers.
- Je trouve que c’est beaucoup plus difficile d’embaucher des gens dans le domaine de la conformité. Les gens ont peur et les exigences en termes de compétences sont très élevées…
- Mes journées sont plus remplies, mais j’ai appris à travailler autrement, de manière plus rapide et plus efficace, sans engager d’assistant.
- À cause du poids de la réglementation, je passe moins de temps sur le terrain, seulement une journée, et le reste du temps au bureau. Alors qu’avant, c’était le contraire.
- Même si la réglementation est plus lourde, elle permet d’améliorer notre pratique et d’éliminer les requins.
- Pour la firme, ce fardeau représente une diminution de la marge bénéficiaire de 25 à 35 % des revenus. Nous devons donc augmenter notre volume pour l’absorber.
RÉPONDANTS EN ASSURANCE
- En raison de la charge de travail, nous avons externalisé certains mandats pour garder notre cœur de compétence.
- Aujourd’hui, la conformité me prend trois à quatre heures par semaine, alors qu’il y a cinq ans, cela ne demandait qu’une à deux heures par semaine.
- Je trouve que rien n’a changé sur ce plan, je ne me sens pas concerné.
- J’estime que la réglementation me prend 20 % de temps de plus qu’avant.
- C’est incroyable ! Avant, il y avait un formulaire en conformité, aujourd’hui, il y en a quatre !
- Je crois qu’il faut faire un sacrifice pour rester dans ce domaine. J’y consacre donc de 65 à 70 heures par mois, au lieu de 40 heures auparavant.
- Je trouve que la réglementation tue la spontanéité. Les clients sont littéralement noyés sous le flot de l’information, alors qu’il faut croire en l’intelligence des gens !
- La charge de travail est plus lourde sur tous les plans, et même si nous voulons embaucher, le recrutement est extrêmement difficile à cause des nouvelles normes et exigences.
- Même si la réglementation nous demande plus de travail, je crois que c’est une bonne chose pour les clients.
- J’ai l’impression que cela occasionne facilement trois à quatre heures de plus par semaine, seulement pour connaître la réglementation à appliquer.
- La réglementation n’a pas d’impact particulier, car nous sommes axés sur la conformité depuis longtemps.
- Les journées sont plus remplies et plus longues, et la charge en conformité, multipliée par trois.
- Nous n’avons pas connu de surcharge de travail, car nous avons rapidement embauché pour y faire face.
- Le volume de travail supplémentaire en conformité est de 65 % de plus qu’il y a cinq ans.
- À cause de cette lourdeur administrative, j’ai l’impression de ne plus avoir le temps de faire mon travail ni d’aider mes clients. Je fais beaucoup moins « d’éducation économique ».
- Je pense qu’avoir plus de suivi et plus de rigueur est une bonne chose, car selon moi, il n’y en a jamais assez !
- À cause de la conformité, je ne fais plus certaines des choses que je faisais par manque de temps.
- Je ne crois pas que ce soit un fardeau supplémentaire. Disons que nous y passons environ 5 % de temps en plus pour la vérification, et cela en vaut la peine !
- Quand on passe à côté de la conformité, on finit par passer à côté de ce qui est important.
- Je trouve que c’est surtout de la paperasse en plus ! La charge de la réglementation a été multipliée par 10.
- La surcharge de travail était de l’ordre de 25 à 30 %. Nous n’avons donc pas créé de poste, nous avons réparti le travail entre plusieurs employés.
RÉPONDANTS EN PLEIN EXERCICE
- La réglementation a un coût pour les firmes sur le plan du recrutement et du volume de travail. Tout a été multiplié par trois !
- Nous avons dû engager une assistante qui documente nos transactions. Aujourd’hui, cette tâche occupe 75 % de son temps, par rapport à 30 % il y a cinq ans.
- Nous avons dû faire du lobby opérationnel, augmenter de 30 % notre personnel pour faire face aux nouvelles exigences de la réglementation.
- Malgré une augmentation des procédures de l’ordre de 40 à 50 %, il n’y a pas eu d’embauches supplémentaires depuis cinq ans. Tout retombe sur mes épaules et sur celles des 10 autres conseillers.
- Les contrôles à l’interne sont de plus en plus exigeants, mais il n’y a pas eu d’embauche supplémentaire pour autant.
- Au fil des ans, j’ai appris à travailler différemment, mais je me rends compte, malgré mes efforts, que j’ai besoin d’une assistante.
- C’est vrai que la réglementation demande plus de travail, mais ce n’est pas une mauvaise chose en tant que telle.
- J’évalue les coûts supplémentaires à 25 000 $ par an en heures travaillées. Le problème, c’est que cet argent n’a aucun lien avec la production, alors que le travail de toute l’équipe a augmenté de 10 %.
- Nous avons engagé du personnel supplémentaire au moment des importants changements, c’est-à-dire il y a cinq ans.
- Je crois que je suis un parfait exemple de ce changement de la réglementation. Je suis avocat et j’ai justement été engagé à cause du poids de la conformité.
- J’ai l’impression que les procédures sont interminables, ça n’en finit plus !
- La charge de travail s’est alourdie surtout au cours des trois à quatre dernières années.
- En ce qui concerne la charge de travail, nous sommes passés du simple au double !
- L’ensemble du fardeau de la réglementation a augmenté de moitié. Ce qui prenait deux heures auparavant en prend désormais trois. Les exigences de procédure et de réglementation en conformité des firmes sont nettement plus grandes.
- Je dirais que nous avons connu des augmentations de 30 % des coûts, de 30 % des heures de travail et de 30 % du recrutement.
- La taille du service de conformité a doublé, ainsi que ma tâche en matière de supervision.
- Nous avons dû ajouter des ressources humaines, mais aussi des outils technologiques pour faire face au fardeau de la réglementation.
- Nous devons allouer 15 à 20 % de temps de plus à la conformité. En revanche, les représentants perçoivent une rémunération réduite de 5 %. Nous avons dû réduire les commissions de nos conseillers, ce qui est en partie lié aux coûts supplémentaires de la conformité.
- Au fil du temps, toute l’équipe s’est adaptée, mais cela reste tout de même un fardeau supplémentaire.
- Je suis d’accord avec l’idée qu’on surveille les gens dans l’industrie, mais il doit y avoir collaboration entre les régulateurs pour éviter les scandales comme celui qu’a causé Vincent Lacroix.
- Je pense que c’est surtout difficile pour les firmes qui assuraient la conformité avec plus de légèreté.