L'usurpation d'identité permet à des pirates informatiques d'utiliser frauduleusement des cartes de crédit, d'avoir accès aux comptes de banque et de placement, et parfois de faire encore pire. Évitez d'être la cause directe ou indirecte, pour vos clients, de ce fléau grandissant.D'abord, rappelez-vous que les virus, c'est contagieux ! Prenez certaines précautions de base pour ne pas les attraper et ne pas les transmettre à vos clients.
Il est pratiquement impossible de protéger un ordinateur contre toutes les attaques informatiques, mais il est facile et peu coûteux de protéger les données qu'il héberge.Comme conseiller, vous devez tenir compte, dans votre gestion de risques, de la protection des renseignements confidentiels de vos clients.
La capacité des conseillers à tirer profit des renseignements dont ils disposent sur leurs clients est un élément clé pour se démarquer. Et d'ici quelques années, les systèmes informatiques cognitifs pourraient leur fournir une aide précieuse dans ce domaine.Ces systèmes sont d'autant plus appelés à jouer un rôle clé que les données numériques connaissent une forte croissance. C'est ce qu'a souligné Claude Guay, associé en chef pour le Québec de Services d'affaires mondiaux IBM, lors d'une journée d'information qu'IBM organisait récemment pour présenter son superordinateur et sa technologie cognitive Watson.
Ce ne sont pas tant les robots-conseillers qui menacent certains conseillers que leur retard à exploiter le plein potentiel des technologies financières, les fintech.Leurs clients sont pourtant déjà prêts à utiliser les innovations technologiques, tandis que les grandes institutions bancaires revoient leur fonctionnement à l'aide des technologies numériques.
L'industrie des services financiers adopte de plus en plus la signature numérique sans papier.En outre, les sociétés Canada-Vie, Great-West, London Life et Quadrus, toutes sous le giron de Power Corporation, acceptent maintenant la signature électronique produite et gérée par le logiciel iGeny Pro, de iGeny, de Brossard, en Montérégie. Ces sociétés reconnaissent la valeur légale d'une telle signature.Les balbutiements canadiensInternet a modifié nettement nos façons de communiquer et de faire du commerce. On rêvait, et on rêve encore, d'éliminer le papier. Il a fallu dès lors prévoir le remplacement de la signature manuscrite qui atteste que l'on a bien fait telle ou telle chose ou que l'on accepte les clauses d'un document.
Le conseiller doit plus que jamais prouver au client la valeur ajoutée de ses services depuis l'entrée en vigueur des dernières exigences de la phase 2 du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2).En effet, le client n'aura jamais été aussi bien renseigné sur la rémunération qu'il paie à son conseiller et sur les rendements qu'il obtient.
La société sans but lucratif Fundserv lance eDocs, les formulaires de transactions sans papier qui utilisent la signature électronique. eDocs facilite l'ouverture de compte et les transactions subséquentes pour les fonds d'investissement.Le directeur principal des relations avec la clientèle chez Fundserv, Andrew Campbell, a présenté les grandes lignes de eDocs lors du 10e Colloque de conformité annuel du Conseil des fonds d'investissement du Québec.
Les mégadonnées (big data) procurent aux institutions financières une connaissance approfondie de leurs clients. De là à leur offrir le bon produit au bon moment, il n'y a qu'un pas, et il sera bientôt franchi.Voilà un des éléments clés qui est ressorti d'un colloque sur le sujet organisé par Finance Montréal, le 11 mai dernier, dans la métropole.
Les réseaux sociaux sont en train de devenir le moyen par excellence de recruter de nouveaux clients.C'est ce que conclut Putnam Investments à la suite d'un sondage réalisé l'an dernier auprès de 800 conseillers financiers américains (http://tinyurl.com/h857y9u). En effet, 79 % des conseillers disent avoir trouvé de nouveaux clients grâce aux réseaux sociaux, par rapport à 66 % en 2014.
Que ce soit une grande entreprise financière ou un conseiller qui travaille à la maison, nul n'est à l'abri d'une cyber-attaque. L'important est de pouvoir y réagir rapidement, en suivant un plan de continuité.Une cyberattaque est un acte malveillant de personnes, de groupes ou d'organisations visant un système informatique. Elle a pour objectif d'y voler des données, de mettre le système informatique hors service ou d'en prendre le contrôle pour effectuer des opérations furtives.