Pour la période de trois mois terminée fin janvier, l’institution torontoise a dégagé un bénéfice net ajusté de 2,12G$ ou 1,12$ par action, comparativement à un bénéfice ajusté de 2,02G$ ou 1,06$ l’action.

Le bénéfice net ajusté tient compte de divers éléments, dont des charges et gains non récurrents.

Le bénéfice est conforme aux attentes des analystes sondés par Bloomberg, qui prévoyaient en moyenne un profit de 1,118$ l’action.

La division Services de détail au Canada a augmenté son bénéfice net de 8%, tandis que celle aux États-Unis a haussé le sien de 15%. TD Ameritrade, la société de gestion de patrimoine dans laquelle la Banque TD détient une participation, a affiché une croissance de son bénéfice de 22%. En revanche, la division Services bancaires de gros a vu son bénéfice reculer de 17% en raison une baisse des revenus tirés des commissions.

«Les résultats du premier trimestre sont la preuve de la puissance de notre modèle sectoriel face à un contexte qui demeure difficile», a dit dans un communiqué Bharat Masrani, pdg de la Banque TD. «La hausse du dividende témoigne de la capacité de la TD à générer une croissance des bénéfices à long terme. Nous continuerons de tirer profit des possibilités de croissance, d’accroître la productivité, d’investir dans l’avenir de notre entreprise et de répondre aux besoins changeants de nos clients.»

Le rendement des capitaux propres, une mesure clé de la performance des banques, a reculé, passant de 16,4% il y a un an à 14,6% au plus récent trimestre.