L’organisme a donc utilisé son rapport fiscal semi-annuel pour démolir cette idée selon laquelle hausser les impôts des gens et des entreprises les plus riches nuirait à la croissance économique, expliquant que «les résultats empiriques ne soutiennent en rien cet argument, du moins en ce qui a trait à des niveaux (de taxation) progressifs qui ne seraient pas excessifs», lit-on dans le Guardian.
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En 1981, le niveau d’imposition le plus élevé dans les pays les plus riches de l’OCDE se situait à 62%, comparativement à 35% aujourd’hui. L’IMF conclut que pour corriger le problème, les politiques fiscales devraient prioriser l’aide aux gens ayant le plus faible revenu.