De ce nombre, 60 % des familles privilégient le REEE comme véhicule d’épargne, selon le sondage.
Parmi les répondants, 81 % optent pour cette solution en raison des subventions offertes par les gouvernements, 44 % le font parce que le REEE permet une discipline d’épargne en vue d’atteindre un objectif clair, en l’occurrence payer les études de leurs enfants, et 23 % parce que le rendement leur semble être meilleur en comparaison d’autres types de placement.
Le coût : une préoccupation
Les dépenses reliées aux études postsecondaires représentent un investissement important et sont une préoccupation pour 68 % des jeunes âgés de 18 à 24 ans et pour 77 % des parents interrogés.
D’ailleurs, 32 % des jeunes ont déclaré ne pas avoir poursuivi d’études postsecondaires en raison de leurs coûts trop élevés.
Parmi les jeunes répondants ayant indiqué avoir poursuivis leurs études, 54 % ont dit avoir travaillé pour financier leurs études, souvent en complément d’un soutien financier. Dans 53 % des cas, ce soutien additionnel provenait de leurs parents, sans précision sur la provenance des fonds. Aussi, 39 % des répondants ont dit avoir obtenu des prêts et bourses, et 22 % ont bénéficié de paiements d’aide aux études (PAE) provenant d’un régime enregistré d’épargne-études (REEE).
Le Baromètre Universitas a été conduit en collaboration avec la firme de sondage CROP. Le sondage CROP a été complété en ligne par le biais d’un panel Web, du 20 au 28 octobre 2016, auprès de 1 000 Québécois.