« Que ce soit dans mes notes ou à mes clients, j’ai déjà dit que le marché immobilier canadien est surévalué, explique Ed Devlin, le principal gestionnaire des actifs canadiens pour Pimco, en entrevue avec le Financial Times. Ce qui est différent maintenant, c’est que je crois que le déclin commencera maintenant. »
Cette opinion s’ajoute à celle de Goldman Sachs et de la Deutsche Bank qui estime que le marché immobilier canadien est surévalué.
Dans une note publiée le mois dernier, M. Devlin a dit croire que la correction du marché immobilier durera plusieurs années. La dépréciation du dollar canadien donnerait toutefois des occasions d’acheter des actifs canadiens sur faiblesse.
Pimco a abaissé sa pondération dans les actifs canadiens de 4% à 2%, selon des documents réglementaires