L’outil en ligne MailChimp compte près de trois millions d’utilisateurs dispersés dans 200 pays. Grâce à lui, on peut envoyer gratuitement des infolettres à un maximum de 12 000 courriels différents. Si le nombre de clients que l’on souhaite rejoindre dépasse ce chiffre, des forfaits payants sont offerts.
Il y a également un peu moins de fonctions d’analyse ou d’aide offertes avec la version gratuite qu’avec la version payante. Par exemple, la fonction Delivery Doctor, qui permet de tester si l’infolettre sera reçue même en tenant compte des filtres pourriels les plus communs, n’est pas offerte dans la version gratuite.
Qu’est-ce que c’est : MailChimp est un gestionnaire d’infolettre que Philippe Ventura utilise mensuellement afin de faire parvenir à ses clients un résumé des billets qu’il a publié, avec son collaborateur Dominic Lamy, sur son blogue, Chevalier, Meunier blogue, durant le mois.
« MailChimp me permet d’envoyer des infolettres à partir de ma base de données. Il y a des fonctions statistiques qui me permettent de voir combien de personnes ont ouvert mes infolettres et ce qu’elles ont consulté», explique Philippe Ventura, conseiller chez Chevalier, Meunier et Associés.
Pourquoi est-ce que je l’utilise: « Cet outil améliore mon suivi avec mes clients et me permet de garder un contact avec eux, souligne le conseiller. MailChimp me permet d’être virtuellement présent pour eux.»
Qu’est-ce qui pourrait être amélioré: l’outil est simple d’utilisation, mais la création d’un modèle personnalisé d’infolettre peut demander du temps à un novice de la programmation. Philippe Ventura a donc choisi de sous-traiter la chose à une spécialiste qui avait aussi conçu son site web.
«En dehors de ça, je pourrais créer autant de modèles d’infolettre que je le souhaite», indique-t-il.
À qui est-ce que je le recommanderais: «Peu de conseillers s’en servent encore alors qu’ils devraient le faire. C’est très intéressant pour quelqu’un qui a du bon contenu à diffuser à ses clients et qui souhaite savoir ce que ces derniers font avec une fois qu’ils le reçoivent », note Philippe Ventura.