Selon le sondage, la diversification et les rendements (31% et 30 %) arrivent devant la transparence (24%), les coûts (21%) et l’efficacité fiscale (18%) parmi les facteurs cités par les 81 conseillers canadiens interrogés.
De plus, 31% des conseillers canadiens sondés prévoient d’augmenter leur utilisation des produits à bêta intelligent d’ici les deux prochaines années. Cependant, 31 % des conseillers sondés avouent avoir l’impression de manquer de connaissances par rapport à ce type de produits bien que 68 % disent être familiers avec l’expression « bêta intelligent ».
Par ailleurs, 28 % des conseillers sondés estiment que ce type de produit n’a pas une historique de rendement assez longue alors que 16% estiment que les frais associés à ce type de produit sont trop élevés.
Plus de la moitié des conseillers canadiens sondés, soit 54 %, disent avoir déjà utilisé le bêta intelligent. Quatre-vingt pour cent des conseillers sondés ont dit que le bêta intelligent était mieux adapté à une utilisation conjointe à la gestion active.
Échantillon
Fait important, pour répondre au sondage, les répondants devaient travailler à temps plein comme conseiller depuis plus de trois ans, avoir plus de 25 millions de dollars en actif sous gestion et tirer au moins 50 % de leurs revenus d’honoraires.
« Ces exigences ont été mises en place pour générer un échantillon de conseillers qui gèrent activement des portefeuilles au lieu de simplement vendre des produits d’investissement, indique FTSE Russell dans son étude. Selon nos données, nous estimons que notre échantillon représente 25 % des conseillers aux États-Unis et au Royaume Uni, ainsi que 20 % des conseillers au Canada. »