Pour expliquer son point de vue, Snark Tank épluche les raisons avancées par d’autres articles. Celles-ci lui permettent d’appuyer la raison qu’elle-même avance. Dans un article récent, Fintech Singapour assurait par exemple que les fintechs pouvaient échouer à cause du sous-financement ou parce qu’elles se considéraient comme n’importe quelle autre startup technologique. Snark Tank souligne que si la startup gagnait suffisamment, elle pourrait aisément surmonter ces problèmes.
La « concurrence » n’est jamais citée comme un facteur d’échec, toutefois Snark Tank estime qu’elle devrait être davantage prise en compte. Si, selon elle, les startups échouent rarement à cause d’un concurrent, la fintech remarque que le problème inverse se produit davantage. Les startups ont tendance à penser qu’elles n’ont pas de concurrent, ce qui est généralement faux. Toutefois, si elles ont raison et qu’elles n’ont effectivement personne en face, Snark Tank met de l’avant qu’il n’y a pas encore de marché et donc de moyen de faire de l’argent ce qui pousse à l’échec.
Pas d’argent n’est pas synonyme d’échec
Ne pas avoir d’argent n’est toutefois pas synonyme que tout est perdu. Les jeunes entreprises fintech peuvent encore être acquises par un vendeur ou une institution financière établie qui pourrait les aider à se développer.
Cela peut toutefois engendrer de nouveaux problèmes
- Les startups acquises peuvent arrêter de se développer au sein de l’entreprise
- Beaucoup de startups surévaluent leur technologie ou la solution qu’elles proposent. Si ces startups ont vraiment développé quelque chose d’unique, qu’elles peuvent ainsi vendre à un prix élevé, peut-être qu’aucune entreprise établie ne sera intéressée à ce qu’elles proposent, car elles n’en auront pas l’utilité.
Évidemment, ne pas gagner d’argent est souvent un symptôme de l’échec plutôt qu’une cause. Les fintechs qui échouent ne gagnent pas d’argent, car elles choisissent le mauvais modèle d’affaires.
Par exemple, les jeunes entreprises fintech qui s’adressent directement aux consommateurs surestiment souvent leur capacité à pouvoir changer le comportement des consommateurs et à les faire payer pour un nouveau produit ou service en plus de tout ce qu’ils paient déjà. Un modèle B2B peut ainsi être une meilleure solution pour certaines startups fintech, souligne Snark Tank. Toutefois, il faut faire attention à ne pas les considérer d’une façon erronée. Ainsi, il est peu judicieux de considérer un « fournisseur » comme un « partenaire », car cela peut exiger un ensemble de compétences et de capacités complètement différentes de ce qu’elles possèdent déjà.
Ainsi pour éviter d’échouer, les fintechs devraient réfléchir à un produit qui va intéresser la clientèle visée, que ce soit une banque ou un consommateur et qu’elles vendent leurs services à un prix raisonnable.
Selon la Fintech Snark Tank, une seule raison explique l’échec des startups fintech : elles ne gagnent pas assez d’argent.
Pour expliquer son point de vue, Snark Tank épluche les raisons avancées par d’autres articles. Celles-ci lui permettent d’appuyer la raison qu’elle-même avance. Dans un article récent, Fintech Singapour assurait par exemple que les fintechs pouvaient échouer à cause du sous-financement ou parce qu’elles se considéraient comme n’importe quelle autre startup technologique. Snark Tank souligne que si la startup gagnait suffisamment, elle pourrait aisément surmonter ces problèmes.
La « concurrence » n’est jamais citée comme un facteur d’échec, toutefois Snark Tank estime qu’elle devrait être davantage prise en compte. Si, selon elle, les startups échouent rarement à cause d’un concurrent, la fintech remarque que le problème inverse se produit davantage. Les startups ont tendance à penser qu’elles n’ont pas de concurrent, ce qui est généralement faux. Toutefois, si elles ont raison et qu’elles n’ont effectivement personne en face, Snark Tank met de l’avant qu’il n’y a pas encore de marché et donc de moyen de faire de l’argent ce qui pousse à l’échec.
Pas d’argent n’est pas synonyme d’échec
Ne pas avoir d’argent n’est toutefois pas synonyme que tout est perdu. Les jeunes entreprises fintech peuvent encore être acquises par un vendeur ou une institution financière établie qui pourrait les aider à se développer.
Cela peut toutefois engendrer de nouveaux problèmes
- Les startups acquises peuvent arrêter de se développer au sein de l’entreprise
- Beaucoup de startups surévaluent leur technologie ou la solution qu’elles proposent. Si ces startups ont vraiment développé quelque chose d’unique, qu’elles peuvent ainsi vendre à un prix élevé, peut-être qu’aucune entreprise établie ne sera intéressée à ce qu’elles proposent, car elles n’en auront pas l’utilité.
Évidemment, ne pas gagner d’argent est souvent un symptôme de l’échec plutôt qu’une cause. Les fintechs qui échouent ne gagnent pas d’argent, car elles choisissent le mauvais modèle d’affaires.
Par exemple, les jeunes entreprises fintech qui s’adressent directement aux consommateurs surestiment souvent leur capacité à pouvoir changer le comportement des consommateurs et à les faire payer pour un nouveau produit ou service en plus de tout ce qu’ils paient déjà. Un modèle B2B peut ainsi être une meilleure solution pour certaines startups fintech, souligne Snark Tank. Toutefois, il faut faire attention à ne pas les considérer d’une façon erronée. Ainsi, il est peu judicieux de considérer un « fournisseur » comme un « partenaire », car cela peut exiger un ensemble de compétences et de capacités complètement différentes de ce qu’elles possèdent déjà.
Ainsi pour éviter d’échouer, les fintechs devraient réfléchir à un produit qui va intéresser la clientèle visée, que ce soit une banque ou un consommateur et qu’elles vendent leurs services à un prix raisonnable.