Pourtant, ils ne devraient pas, soutient Joe Chidley dans le Financial Post. Pas que cette procédure soit une bonne nouvelle pour les investisseurs, mais il se pourrait bien en fait qu’elle soit peu significative pour eux. Déjà, le marché a soufflé le chaud et le froid après l’annonce des démocrates. Les indices américains ont baissé mardi quand il est devenu évident que la procédure de destitution serait entamée, mais dès le lendemain, le Dow Jones, le S&P 500 et le Nasdaq remontaient.
Un petit échantillon
Les États-Unis n’ont connu que deux procédures de destitution dans leur histoire. En 1868, Andrew Johnson s’était vu reprocher la mise à pied de son secrétaire d’État à la guerre sans l’accord du Congrès.
En 1998, Bill Clinton s’était vu accusé d’avoir menti sous serment et d’avoir obstrué le cours de la justice en lien avec sa relation avec Monica Lewinski et une poursuite antérieure de harcèlement sexuel déposée par Paula Jones. Dans les deux cas, le président avec été acquitté. Les marchés, eux, étaient repartis à la hausse dès la fin des procédures, mais pour des raisons qui n’avaient probablement que peu à voir avec la tentative de destitution.
Les conséquences du verdict
La situation serait-elle différente si Trump était bel et bien destitué? Le seul exemple sur lequel on peut se baser pour tenter de répondre à cela est…
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