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La pandémie a fait ressortir de nombreux thèmes ESG. En ce qui a trait à l’environnement, nous avons constaté une augmentation des promesses d’émissions nettes nulles au cours des derniers mois. Parmi les préoccupations sociales, notons le souci des entreprises de donner priorité à la santé et à la sécurité de leur main-d’œuvre. Quant à la gouvernance, quels sont les effets des assemblées annuelles virtuelles sur les droits des actionnaires ? Dans cette FAQ, diverses équipes des placements de RBC Gestion mondiale d’actifs abordent ces sujets et plus encore.
Nos équipes, qui sont réparties dans une foule de villes d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie, présentent une variété de points de vue concernant les défis – et les occasions – qui attendent les investisseurs aujourd’hui.
Quelle sorte d’actifs éventuels la pandémie de COVID-19 a-t-elle mis en lumière ?
Équipe Actions mondiales RBC (Londres)
L’équipe Actions mondiales RBC cherche des entreprises qui créent des actifs éventuels, c’est-à-dire des actifs incorporels qui, selon nous, généreront de la valeur pour les actionnaires à long terme (culture d’entreprise, pratiques de gestion durables, etc.). Dans la première moitié de l’année, nous avons vu de nombreuses sociétés sacrifier les profits à court terme afin de répondre à la pandémie, et ce choix a été récompensé puisque la valeur de ces sociétés a augmenté. Les entreprises ont investi dans la santé et la sécurité de leurs employés et les collectivités où elles exercent leurs activités, en transformant leur production pour fabriquer de l’équipement de protection individuelle destiné aux travailleurs de la santé, et en prolongeant les vacances payées pour que les employés puissent surmonter le stress et répondre aux exigences de la pandémie. Selon nous, l’engagement à l’égard d’aspects sociaux, comme une solide culture d’entreprise et la robustesse de la gestion et du perfectionnement du personnel, peut accroître la mobilisation, la productivité, l’innovation et la fidélisation des employés – autant de facteurs susceptibles de créer de la valeur pour les sociétés et les investisseurs à long terme.
Durant la pandémie, quelle a été l’importance des communications de la direction pour ces sociétés dont l’effectif est peu important ?
Équipe Actions américaines de valeur et de base (Boston)
L’équipe Actions américaines RBC de Boston investit principalement dans des sociétés à micro, à petite et à moyenne capitalisation. Pendant la pandémie, nous avons dialogué avec les sociétés dans lesquelles nous investissons à propos de leurs pratiques de gestion du personnel. Dans certains cas, les équipes de direction ont prêché par l’exemple, en abaissant leurs salaires et en renonçant aux primes ; certaines ont communiqué de façon claire et transparente avec les employés sur l’importance des pratiques de santé et de sécurité et leur engagement à cet égard. Selon nous, mettre la priorité sur les employés est important pour toutes les entreprises, peu importe leur taille, mais c’est d’autant plus crucial au sein des sociétés plus petites qui doivent surmonter les défis liés à la pandémie.
La pandémie de COVID-19 a-t-elle révélé quoi que ce soit sur les occasions liées à l’« infrastructure sociale » dans les pays émergents ?
Équipe Actions, Marchés émergents RBC (Londres)
L’équipe Actions, Marchés émergents RBC définit l’infrastructure sociale comme étant les actifs et les services publics essentiels qui facilitent la vie quotidienne des gens et ont une incidence déterminante sur leur niveau de vie. Malgré une demande sans précédent d’actifs d’infrastructure dans les marchés émergents, le sous-investissement constant a donné lieu à des lacunes considérables en ce qui concerne la qualité et la quantité des infrastructures.
Les actifs d’infrastructure sociale favorisent la croissance et le développement durables d’un pays et jouent un rôle crucial dans l’essor rapide de la classe moyenne des pays émergents. La pandémie a braqué les projecteurs sur les facteurs sociaux et environnementaux qui, d’après nous, deviennent des sources croissantes d’occasions et de risques. Nous avons donc décidé d’axer le thème de l’infrastructure sur les infrastructures vertes.
Les efforts visant à stimuler la croissance de certains segments de l’infrastructure, comme les villes intelligentes et l’infrastructure sociale, devraient être davantage soutenus dans l’avenir. La pandémie a fait ressortir l’importance de l’infrastructure sociale dans des domaines comme les soins de santé, l’hygiène, le logement et l’éducation. Prenons l’exemple des soins de santé : le sous-investissement explique que l’infrastructure de santé des pays émergents accuse un retard par rapport à celle des pays développés en ce qui concerne à la fois la qualité et la quantité. Selon nous, la COVID-19 a accéléré la demande de services de santé dans les pays émergents, et bien que nous prévoyions d’importantes dépenses publiques au cours de la prochaine décennie, nous croyons qu’il existe aussi une occasion pour le secteur privé.
Comment les répercussions de la pandémie sur la technologie cadrent-elles avec votre processus de placement ?
Équipe Actions européennes RBC (Londres)
L’équipe Actions européennes RBC a analysé en profondeur les répercussions à long terme des bouleversements apportés par la technologie. La pandémie a fait ressortir les bouleversements attribuables à la technologie dans l’ensemble des secteurs, notamment la capacité de faire du télétravail et les changements dans la façon d’accéder à des biens et de les consommer. À notre avis, cela illustre notre opinion selon laquelle la technologie touche chaque segment du commerce et tous les secteurs. C’est pourquoi chaque fois que nous examinons une nouvelle idée de placement, nous nous demandons si les bouleversements attribuables à la technologie remettent en question la viabilité du modèle d’affaires. Nous engageons le dialogue avec les équipes de direction pour connaître leur opinion et leur approche stratégique en ce qui concerne les perturbations possibles et les tendances à long terme ; nous portons aussi une attention particulière à l’accent qu’une société met sur l’innovation, qui peut se révéler une source d’occasions et d’atténuation des risques.
Dans quelle mesure les conseils d’administration et les équipes de direction font-ils preuve de transparence à propos des retards ou de la priorisation réduite de ces initiatives alors que les sociétés composent avec les risques liés à la pandémie ?
Équipe Actions nord-américaines RBC (Toronto)
L’équipe Actions nord-américaines RBC a des échanges continus avec certaines sociétés dans lesquelles nous investissons à propos d’initiatives ESG, comme celles visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Nos échanges avec des sociétés concernant le retard ou l’interruption d’initiatives ESG ont été en grande partie honnêtes et transparents. Au début de la pandémie, nous avons eu des entretiens réguliers avec les conseils d’administration et les équipes de direction de sociétés dans lesquelles nous investissons à propos de leur situation financière et de leurs stratégies pour l’avenir alors qu’elles étaient confrontées aux répercussions économiques de la pandémie. En tant qu’investisseurs à long terme, nous avons reconnu que les sociétés devaient composer avec certains des risques les plus graves, mais certaines sociétés ont conservé leur orientation à long terme, notamment en ce qui a trait aux initiatives ESG. Par exemple, en ce qui concerne les projets environnementaux, nous avons jugé encourageant de voir autant de sociétés maintenir leur engagement pour des projets visant à réduire les émissions ou l’intensité de ces dernières.
Au cours des dernières années, des progrès importants ont été accomplis dans divers marchés d’Asie en ce qui concerne les facteurs ESG. La COVID-19 a-t-elle mis fin à ces progrès ou bien observons-nous le maintien de l’élan vers plus de déclarations, une meilleure gouvernance et des investissements dans des solutions de lutte contre les changements climatiques ?
Équipe Actions asiatiques RBC (Hong Kong)
Dans la seconde moitié de 2020, nous avons noté d’importants engagements envers l’ESG en Asie. En octobre, la Corée du Sud et le Japon ont établi des cibles de carboneutralité d’ici 2050, après que le premier ministre chinois Xi Jinping ait annoncé un objectif similaire pour 2060. Si la Chine atteint son objectif, les répercussions sur le niveau global des émissions dans le monde seront considérables. Ces engagements s’inscrivent dans le contexte d’améliorations récentes de l’ensemble des normes et pratiques de gouvernance d’entreprise dans la région. Ainsi, au Japon, depuis la mise en place du code de gérance en 2014, nous avons constaté une hausse de l’indépendance des conseils d’administration, un recours accru aux propositions d’actionnaires et une certaine amélioration de la diversité des genres au sein des conseils. Certains marchés, comme la Corée du Sud, l’Inde et Taïwan ont adopté leur propre code de gérance ; nous prévoyons donc des progrès soutenus sur ce plan, qui compléteront nos processus d’intégration des facteurs ESG et nos échanges avec les sociétés dans lesquelles nous investissons pour de meilleures déclarations relatives à l’ESG.
Avez-vous observé de grandes tendances dans l’investissement responsable au cours de la pandémie ? Y a-t-il eu une hausse de l’intérêt pour l’investissement responsable ?
BlueBay (Londres)
Oui. Les statistiques du marché sur l’ampleur et le rythme de l’afflux de capitaux dans les fonds axés sur l’ESG, en gestion active ou passive, montrent qu’ils ont atteint un sommet record en 2020. La COVID-19 pourrait marquer un tournant pour les placements fondés sur les critères ESG, mais il est important de signaler que la pandémie ne fait qu’accélérer une tendance qui existait déjà. Cela dit, la solide performance des fonds axés sur l’ESG durant cette année difficile a certainement attiré vers ce marché certains investisseurs qui ne s’y seraient pas intéressés autrement. Selon nous, cet intérêt est attribuable à l’intensification de préoccupations sociétales concernant des problèmes sociaux et environnementaux, comme les changements climatiques et les inégalités, mais aussi au resserrement de la réglementation entourant l’ESG.
Les sociétés ont été contraintes de modifier leurs assemblées annuelles durant la période des votes par procuration de 2020 pour adopter une formule virtuelle seulement. Cependant, une assemblée virtuelle présente des risques pour les droits des actionnaires. Quelles sont vos attentes à l’égard des sociétés en ce qui concerne les assemblées des actionnaires ?
Équipe Actions canadiennes PH&N (Vancouver)
Nous estimons qu’il n’y a pas de comparaison possible entre une assemblée en personne pour tous les actionnaires et une assemblée exclusivement virtuelle. Par exemple, les assemblées exclusivement virtuelles pourraient faciliter le contrôle et le filtrage des questions difficiles pour les conseils d’administration et les équipes de direction. Cela dit, la formule virtuelle permet aussi à un plus grand nombre d’actionnaires de participer aux assemblées ; elle offre donc certains avantages. Selon nous, en l’absence de craintes concernant la santé et la sécurité, une formule hybride, qui combine participation en personne et participation à distance, est appropriée. En cas d’assemblée virtuelle, nous nous attendons à ce que les sociétés communiquent des renseignements détaillés sur les procédures relatives à l’assemblée, la façon dont les droits des actionnaires sont protégés et la façon dont les actionnaires peuvent poser des questions au cours de l’assemblée.
La pandémie a eu de nombreuses répercussions directes sur les entreprises, mais aussi des répercussions indirectes et en aval. Quels sont les facteurs ESG que vous prenez en compte dans votre processus de placement et sur lesquels la COVID-19 pourrait rejaillir pendant des années ?
Équipe Actions américaines de croissance RBC (Chicago)
Un élément inconnu pour l’avenir concerne la formation des employés et les occasions d’avancement dans un contexte de télétravail. De nombreux employés – en particulier les moins expérimentés – se perfectionnent en observant leurs gestionnaires et mentors et en travaillant en étroite collaboration avec eux. En ce moment, les réunions et les interactions virtuelles n’offrent pas forcément la même expérience à ces employés. Les entreprises devront donc porter une attention particulière à leur approche et à son incidence possible sur la fidélisation, la satisfaction et le perfectionnement des employés.
Le financement des obligations vertes était en hausse avant la pandémie. Nous avons aussi constaté que des initiatives sociales étaient financées à l’aide d’obligations. Connaissez-vous des exemples d’obligations sociales liées à la COVID-19 et comment fonctionnent-elles en général ?
Équipe Titres mondiaux à revenu fixe RBC (Toronto)
Il existe un exemple particulier d’obligation sociale, celle émise par l’Union européenne (UE) dans le cadre du programme SURE de 100 G€, destiné à procurer un « soutien à l’atténuation des risques de chômage en situation d’urgence ». Nous avons investi dans ce nouvel instrument. Ce programme offre un financement commun aux États membres de l’UE pour combattre les répercussions économiques et sociales de la pandémie, en préservant l’emploi et en finançant des mesures liées à la santé en milieu de travail, afin de permettre un retour en toute sécurité à une activité économique normale.
Pour financer ce programme, la Commission européenne a émis des obligations sociales conformes au cadre relatif aux obligations sociales, qui décrit la façon dont les fonds mobilisés serviront un objectif social. Ce cadre comporte aussi des exigences de déclaration pour les États membres et détermine la façon dont les initiatives financées contribuent à l’atteinte des objectifs de développement durable des Nations Unies. En 2020, la Commission européenne a émis par l’intermédiaire du programme SURE des obligations sociales d’une valeur avoisinant 40 G€.
Quelles tendances ESG avons-nous observées, en particulier dans le marché des titres de crédit de sociétés canadiennes ? Ces tendances ont-elles changé au cours de la pandémie ?
Équipe Titres canadiens à revenu fixe PH&N (Vancouver)
Au cours de l’année 2020, les émissions d’obligations vertes sur le marché canadien des obligations de sociétés de catégorie investissement ont atteint près de 5 G$, soit environ 70 % de plus qu’en 2019. Il est aussi devenu évident que les sociétés émettrices sont plus conscientes du besoin d’améliorer les déclarations relatives à l’ESG ; dans bien des cas, elles ont annoncé publiquement des cibles de réduction des émissions de GES. Soulignons que ce thème a été observé dans divers secteurs. Par exemple, du côté des SPI, un certain nombre d’obligations vertes ont été émises par des sociétés qui ont présenté un cadre détaillé et fait vérifier l’utilisation du produit par des tiers. Dans le secteur de l’énergie, certaines des plus grandes entités canadiennes ont présenté des plans sur les changements climatiques axés sur la transition et la décarbonisation. Ainsi, certaines sociétés visant la neutralité carbone d’ici 2050 se sont fixé des objectifs intermédiaires et se sont engagées à mettre à profit leur taille et leur envergure pour promouvoir des solutions qui aideraient l’ensemble du Canada à devenir carboneutre d’ici 2050. Nous sommes heureux de constater la sensibilisation accrue à l’ESG et prévoyons que ce thème perdurera alors que le Canada amorce sa reprise.
Lisez notre rapport annuel de 2020 sur la gouvernance et l’investissement responsable pour en savoir plus sur nos dernières activités ESG.
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Date de publication : 7 avril 2021