La Banque de Montréal a indiqué mercredi avoir conclu un accord pour acheter Radicle Group pour une somme non divulguée, alors qu’elle cherche à étendre ses services de conseil en réduction des émissions.
Radicle, établi à Calgary, est un développeur de crédits carbone qui aide les organisations à mesurer et à réduire leurs émissions.
Le chef de la direction de BMO Marchés des capitaux, Dan Barclay, a souligné dans un communiqué que l’acquisition aiderait la banque à être le principal partenaire de ses clients dans la transition vers un monde carboneutre.
Les grandes banques canadiennes ont été critiquées pour leur financement de l’industrie pétrolière et gazière, mais les banques ont défendu leur position en partie en disant qu’elles prévoyaient de travailler avec de gros émetteurs pour réduire leurs émissions.
Les crédits carbone ont un passé mitigé, plusieurs remettant en question leur efficacité à réduire réellement les émissions, mais Radicle note que le marché se développe et continue de jouer un rôle important dans la lutte contre les effets du changement climatique.
Radicle compte 130 employés et a travaillé avec plus de 4000 clients, dont de grands producteurs de pétrole et de gaz naturel tels que la Pétrolière Impériale, Meg Energy, TC Énergie, Chevron et ConocoPhillips.
L’institution veut étendre ses services de conseil en réduction des émissions.
La Banque de Montréal a indiqué mercredi avoir conclu un accord pour acheter Radicle Group pour une somme non divulguée, alors qu’elle cherche à étendre ses services de conseil en réduction des émissions.
Radicle, établi à Calgary, est un développeur de crédits carbone qui aide les organisations à mesurer et à réduire leurs émissions.
Le chef de la direction de BMO Marchés des capitaux, Dan Barclay, a souligné dans un communiqué que l’acquisition aiderait la banque à être le principal partenaire de ses clients dans la transition vers un monde carboneutre.
Les grandes banques canadiennes ont été critiquées pour leur financement de l’industrie pétrolière et gazière, mais les banques ont défendu leur position en partie en disant qu’elles prévoyaient de travailler avec de gros émetteurs pour réduire leurs émissions.
Les crédits carbone ont un passé mitigé, plusieurs remettant en question leur efficacité à réduire réellement les émissions, mais Radicle note que le marché se développe et continue de jouer un rôle important dans la lutte contre les effets du changement climatique.
Radicle compte 130 employés et a travaillé avec plus de 4000 clients, dont de grands producteurs de pétrole et de gaz naturel tels que la Pétrolière Impériale, Meg Energy, TC Énergie, Chevron et ConocoPhillips.