FI RELÈVE – Les nombreuses allégations d'inconduites sexuelles rendues publiques ces derniers jours rappellent l'importance de s'informer sur les politiques de prévention et d'intervention mises en place par un employeur potentiel avant d'y signer un contrat d'embauche.
Le vieillissement de la population québécoise s'accompagne forcément d'une augmentation des transferts de patrimoine. Et d'autant d'occasions pour les professionnels qui s'assurent d'être connus et appréciés de toute la famille.«Les planificateurs vont avoir du pain sur la planche pour épauler ceux qui hériteront de ces transferts ; il y a beaucoup de travail d'encadrement, de soutien et d'écoute à faire», constate Léon Lemoine, planificateur financier chez Gestion Ethik.
«Quand mes enfants ont quitté la maison, j'ai réalisé que je passais beaucoup de temps à transporter des dossiers. Je me suis dit : "Pourquoi ne pas m'aménager un bureau ici et avoir tout mon matériel au même endroit ?"» se souvient Carmen Goyette, conseillère autonome, conseillère en sécurité financière, représentante en épargne collective et assureur vie certifiée, affiliée à SFL Placements.Depuis une douzaine d'années, elle travaille exclusivement de son domicile, à Repentigny, dans une chambre reconvertie. «Je l'ai surtout choisie parce qu'elle est très éclairée, dit-elle. Elle est située au rez-de-jardin, à l'arrière de la maison, et possède une grande fenêtre qui donne sur le jardin.»
FI RELÈVE – Le domaine du conseil financier se prête bien au travail à domicile. Pour être efficace, il est par contre important de s'assurer d'y être au moins aussi confortablement installé qu'en cabinet. Ce deuxième article d'une série de deux détaille la manière de choisir les bons équipements.
FI RELÈVE – Le domaine du conseil financier se prête bien au travail à domicile. Pour être efficace, il est par contre important de s’assurer d’y être au moins aussi confortablement installé qu’en cabinet.
FI RELÈVE – La transformation du mode de rémunération, l'importance croissante des outils technologiques et les diverses conséquences du vieillissement de l'industrie préoccupent les professionnels de la relève en ce début d'année.
Même si elles sont de plus en plus nombreuses à choisir d'exercer les différents métiers du conseil financier, les femmes doivent toujours faire face à certains obstacles dans ce milieu autrefois uniquement masculin.«Selon moi, le plus gros défi est qu'il faut avoir une façon de s'exprimer et de se présenter irréprochable», lance d'entrée de jeu Maud Salomon, conseillère en sécurité financière, représentante autonome et représentante de courtier en épargne collective rattachée à MICA Capital.
Selon les plus récentes données, 49,8 % des membres de la Chambre de la sécurité financière (CSF) sont des femmes, tout comme 41,8 % des affiliés de l'Institut québécois de la planification financière (IQPF).Dans le cadre d'une série d'articles, Finance et Investissement a échangé avec des conseillères expérimentées afin de savoir si le fait d'être une femme dans l'industrie était un avantage ou un désavantage pour elles.
Près de 200 000 canadiens ont reçu un diagnostic de cancer l'an dernier, provoquant dans autant de ménages une onde de choc émotive, mais également financière. Une bien triste éventualité à laquelle les professionnels se doivent de conscientiser leurs clients.Statistique Canada a publié en juillet ce qu'il affirme être «les toutes premières estimations représentatives nationales de l'effet d'un diagnostic de cancer sur l'emploi et les gains du conjoint ainsi que sur le revenu total de la famille» avant impôts.
FI RELÈVE - À 29 ans, Philippe Beaudry entame déjà une seconde carrière. Avant de faire ses débuts dans le domaine de la planification financière, il s'est illustré mondialement à titre d'escrimeur, entre autres aux Jeux olympiques de Beijing et de Londres, où il s'est classé 24e à l'épreuve de sabre individuel.