FI RELÈVE - Alors que la majorité des professionnels de la finance ciblent les clients fortunés, une poignée de conseillers a plutôt décidé de se consacrer aux petits épargnants. Un choix à la fois moral... et stratégique.
FI RELÈVE - Bien qu'il soit possible de régler une foule de détails par téléphone ou par courriel, dans certains cas, rien ne vaut une rencontre en personne. Pour tirer le maximum de ce tête-à-tête avec votre client, il est toutefois important de choisir le bon lieu et de respecter les règles d'étiquette qui s'imposent.
FI RELÈVE - Depuis la crise financière de 2008, les clients accordent autant d'importance, sinon plus, à la qualité de la relation qu'ils entretiennent avec leur conseiller qu'au rendement que celui-ci peut leur offrir. C'est pourquoi les conseillers devraient maîtriser tout aussi bien les règles d'étiquette de base que les produits offerts. En affaires, le client a la préséance.
FI RELÈVE - Contrairement au domaine de la santé, où le nombre d'omnipraticiens est pratiquement égal à celui des médecins spécialistes, l'industrie des services financiers compte beaucoup plus de conseillers généralistes.« D'après mes observations, je dirais que 80 % des conseillers choisissent de desservir une clientèle diversifiée, et que 20 % d'entre eux seulement optent pour un marché de niche », affirme Sara Gilbert, consultante et fondatrice de la firme Strategist(e).
FI RELÈVE - D'après la firme PriceMetrix, près de trois conseillers sur quatre n'ont pas de plan d'affaires. Si certains se justifient en invoquant le manque de temps, d'autres avouent qu'ils ne savent pas vraiment comment s'y prendre. Voici donc cinq clés pour réussir le vôtre.1. Prendre le tempsSelon Sylvain De Champlain, président de De Champlain Groupe financier, il est difficile pour un conseiller en début de carrière de s'arrêter pour rédiger son plan d'affaires.
Que ce soit pour faire de la prospection, la promotion de nouveaux produits et services ou pour rassurer leurs clients en période de turbulence économique, de nombreux conseillers ont recours au publipostage. Mais à défaut de respecter les principes de base suivants, cette technique de marketing peut se retourner contre eux.1. Respecter la Loi canadienne anti-pourriel (LPAC)En vertu de cette nouvelle législation, qui est entrée en vigueur le 1er juillet 2014, il est interdit d'envoyer des messages électroniques commerciaux à ses clients sans avoir obtenu au préalable leur consentement tacite ou explicite.
Bien que les femmes représentent désormais plus de la moitié des membres de la Chambre de la sécurité financière (CSF), elles sont encore sous-représentées dans certains domaines, notamment parmi les conseillers en placement - elles ne comptent que pour 28,6 % des représentants inscrits à l'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM). En appliquant les cinq conseils suivants, elles pourraient toutefois parvenir à changer la donne.1. Restez vous-mêmePour réussir dans un domaine majoritairement masculin, certaines femmes croient qu'elles doivent penser et agir comme un homme, observe Sara Gilbert, consultante et fondatrice de la firme Strategist(e).
FI RELÈVE - Bien que les femmes représentent désormais plus de la moitié des membres de la Chambre de la sécurité financière (CSF), elles sont encore sous-représentées dans certains domaines, notamment dans le secteur du conseil en placement – elles ne comptent que pour 28,6 % des représentants inscrits à l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM). En appliquant les cinq conseils suivants, les jeunes conseillères pourraient toutefois parvenir à changer la donne.
DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES - Après avoir profité d'une pause pour mener à bien un projet personnel, prendre soin de leur famille ou relever de nouveaux défis professionnels, d'anciens conseillers décident parfois de revenir au métier de conseiller. Peuvent-ils espérer retrouver leur carrière au point où ils l'avaient laissée ?«Lorsqu'on décide de s'accorder un temps d'arrêt, on doit généralement vendre sa clientèle. Si le contrat de vente comporte une clause de non-concurrence, il faudra repartir à zéro», indique Sara Gilbert, consultante et fondatrice de la firme Strategist(e).
FI RELÈVE - Les tatouages ne sont plus l'apanage des rockeurs et des marins; désormais, des professionnels de tous les horizons cèdent eux aussi à l'appel de l’encre. Mais lorsqu'on est conseiller, est-il préférable de dissimuler ses oeuvres d'art corporelles, sous peine de déranger une partie de sa clientèle?