À l'ère numérique, nous accumulons de nombreux documents virtuels et réalisons plusieurs transactions dans des comptes en ligne. Mais peu de personnes prévoient l'accès de leurs héritiers à ce patrimoine.En effet, un rapport de la BMO publié en 2012 révèle que 57 % des baby-boomers n'ont prévu aucune mesure à l'égard de leurs biens numériques dans leur plan de succession (http://tinyurl.com/6vptevm).
La technologie occupe de plus en plus de place dans la vie professionnelle des conseillers. Et la tendance n'est pas près de s'inverser.Un rapport récent publié par Placements Mackenzie révèle en effet que plus de la moitié des conseillers canadiens (58 %) sont présents sur les réseaux sociaux. Cette proportion risque d'augmenter rapidement, puisque 67 % de l'ensemble des répondants utilisera encore davantage de réseaux tels que LinkedIn, Facebook et Twitter au cours des prochaines années.
FI RELÈVE - Si bien des conseillers s’intéressent à la fiscalité, tous n’ont pas les ressources qu’il faut pour compléter une maîtrise dans ce domaine. Heureusement pour eux, il existe d’autres façons d’approfondir leurs connaissances des lois fiscales.
FI RELÈVE - La maîtrise en fiscalité n'est pas destinée uniquement aux avocats et aux comptables. De plus en plus de conseillers aspirent eux aussi à obtenir ce précieux diplôme.
FI RELÈVE - Alain-Julien Ngalle adore les chiffres. Aussi a-t-il complété des études en économie au Cameroun, son pays d’origine, avant d’entreprendre un baccalauréat dans la même branche à l’Université de Montréal (UdeM).
FI RELÈVE - Alors que la plupart de leurs prédécesseurs ont fait carrière en ne détenant qu'un seul permis, beaucoup de jeunes conseillers choisissent au contraire de multiplier les titres et les diplômes. Si cette stratégie se révèle profitable pour les clients, l'est-elle autant pour les conseillers?
FI RELÈVE - Pendant qu'elle complétait un baccalauréat en administration des affaires avec une concentration en finance, à l'UQAM, Marie-Josée Bélanger entendait régulièrement les membres de son entourage dire qu'ils avaient beaucoup de difficulté à trouver un bon conseiller. Souhaitant contribuer à changer la donne, elle a décidé de s'inscrire au certificat en planification financière.
FI RELÈVE - Lorsqu’il a entrepris un baccalauréat en administration des affaires avec une concentration en finance, à l’Université Laval, Stéphane Pelletier se voyait faire carrière comme gestionnaire de portefeuille.
DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES - Pour être un bon conseiller, il ne suffit pas d’aimer les chiffres; il faut aussi aimer les gens. Cela ne signifie pas pour autant que seuls les extravertis ont la capacité d’exercer ce métier. Avec un peu d’astuce, les introvertis peuvent eux aussi tirer leur épingle du jeu.
DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES - En tant que conseiller, les cocktails, les congrès et les autres évènements sociaux constituent pour vous d’excellentes occasions d’élargir votre bassin de clientèle à la condition que vous ayez le courage d’entrer en contact avec de nouvelles personnes. Grâce aux conseils suivants, vous ne raterez plus jamais une occasion d’affaires de crainte d’aborder un inconnu.