FI RELÈVE - Si plusieurs conseillers deviennent directeurs de succursale, ils sont relativement peu nombreux à le rester. Pour plusieurs, entre les exigences de plus en plus lourdes pour les directeurs et la passion du conseil financier, le choix n'est pas si difficile.
FI RELÈVE - Il peut être fort avantageux pour les conseillers de travailler en équipe, mais attention : ce n'est pas automatiquement un gage de réussite. La clé est de bien préciser les attentes et les rôles de chacun des membres de l'équipe.
Les sociétés étrangères de microcapitalisation représenteraient la «prochaine grande occasion» du marché boursier mondial, selon le Brandes Institute, une firme-conseil américaine du domaine du placement.Ces sociétés, qui ont une capitalisation boursière de 50 à 500 M$, comptent pour 60 % des 20 000 entreprises inscrites en Bourse dans le monde, indique une étude récente de cet institut. Et de ces quelque 12 000 sociétés de microcapitalisation, 40 % sont établies dans des pays émergents (http://tinyurl.com/h23a7zs).
À la lecture de the courage to Act, les mémoires de Ben S. Bernanke, il y a matière à se demander si, de nos jours, les banquiers centraux n'ont pas davantage d'importance que les chefs d'État ou les commandants d'armée.Ben Bernanke, président de la Réserve fédérale américaine (Fed) de 2006 à 2014, a très certainement été l'un des hommes les plus puissants du monde. À partir d'août 2007, quand la banque BNP Paribas a gelé deux de ses fonds particulièrement exposés aux hypothèques à haut risque américaines, la Fed a joué les pompiers durant une longue année.
Après avoir passé quatre ans à étudier la question et mobilisé cinq équipes de chercheurs, l'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) a conclu au début décembre que la négociation à haute vitesse (NHV) ne nécessitait pas de mesures réglementaires supplémentaires.Les courtiers à haute vitesse (c'est-à-dire les systèmes informatiques) auraient en fait divers impacts sur les marchés, qui sont pour la plupart positifs, selon l'organisme (http://tinyurl.com/jfdxbp2).
L'industrie bancaire canadienne semble bien continuer de surpasser ses pairs, sept ans après une crise financière qu'elle a été l'une des seules dans le monde à éviter.«Les institutions de dépôt ont de solides niveaux de fonds propres et de liquidités, assortis de taux de rendement élevés et de faibles niveaux de prêts non productifs. Cela permet au système financier du Canada d'être considéré comme le plus solide du monde», conclut le Conference Board du Canada dans son étude réalisée avec l'appui financier de la Toronto Financial Services Alliance et publiée en novembre dernier et (http://tinyurl.com/zefm5wr).
«Parce qu'on est en 2015», a répondu Justin Trudeau quand on lui a demandé pourquoi il trouvait important de former un conseil des ministres paritaire. Les entreprises publiques canadiennes sont manifestement beaucoup plus lentes à s'adapter, puisqu'elles comptent en général encore peu de femmes au sein de leur haute direction et de leur conseil d'administration (CA).C'est ce que révèlent de nouvelles données recueillies par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) auprès de 722 sociétés inscrites à la Bourse de Toronto, en vertu d'une nouvelle obligation de divulgation en vigueur depuis décembre 2014 (http://tinyurl.com/z7monlz).
L'organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) vient de publier un Guide de pratiques exemplaires en matière de cybersécurité à l'intention de ses courtiers membres afin de les aider à contrer les menaces en matière de fraudes informatiques.Le guide, disponible en ligne (http://tinyurl.com/hp42zyz), présente des recommandations qui vont des meilleures pratiques en matière de gouvernance aux enquêtes de sécurité sur le personnel, en passant par la sécurité des réseaux sans fil et le signalement des infractions.
Les phénomènes météorologiques ont un impact sur les investisseurs, et par le fait même, les rendements des portefeuilles, révèlent différentes recherches.Selon Mark J. Kamstra, professeur de finance à l'Université York, à Toronto, les études s'accumulent sur le sujet et les conclusions sont à peu près toujours les mêmes : les conditions météo touchent les marchés financiers, et cet effet est mesurable.
Les bulles boursières éclatent rarement. En fait, selon un nouveau document de travail publié par le National Bureau of Economic Research, elles risquent souvent davantage de continuer à grossir que de crever.En effet, William Goetzmann, professeur de finance à l'Université Yale et auteur de l'article (http://www.nber.org/papers/w21693), a testé la fréquence des bulles boursières dans 21 pays, entre 1900 et 2014. Il conclut que «la chose la plus importante qu'un historien peut dire aux investisseurs», c'est que les bulles qui éclatent sont «rares».