La Bourse américaine a connu une troisième semaine de déclin, mais a laissé la panique du 14 août qui a vu le Dow Jones perdre 800 points derrière elle.
Après un mois de juillet ensoleillé, le mois d’août, historiquement nuageux en Bourse, démarre plutôt mal.
À cinq jours ouvrables des résultats du deuxième trimestre pour les banques, les attentes des analystes sont bien modestes.
La première fois que nous avons contacté James Cole du Fonds ciblé canadien Portland, à la fin de novembre, l’encaisse en portefeuille frisait 21%.
La vente par l’assureur-vie Great-West d’activités américaines reçoit un accueil glacial des investisseurs en raison des répercussions potentielles.
Malgré la dépréciation de deux de ses trois thèmes à contre-courant en 2018, Martin Roberge de Canaccord Genuity revient à la charge avec trois placements à contresens pour 2019.
Comme l'explique Martin Roberge de Canaccord Genuity dans son dernier billet, le duel entre les optimistes et les pessimistes entre dans une nouvelle phase.
Comme un enfant dans un magasin de bonbons, la chute boursière d’octobre au Canada a fait le bonheur de Stephen Takacsy, de Gestion d’actifs Lester.
Quatorze des 19 signaux précurseurs d’un marché baissier de Bank of America Merrill Lynch, ont été déclenchés.
Les négociateurs, certains stratèges et même Donald Trump, croient que la chute brutale des cours le 10 octobre est le mouvement de repli que tous attendaient.