Les plus grandes banques termineront l’année la tête haute avec une hausse annuelle de 10% de leurs bénéfices.
Étant donné l'envergure des capitaux qui se collent sur les indices et des fonds négociés en Bourse qui les calquent carrément, les prochains changements à la composition des indices repères les plus en vue de la planète risquent de créer un petit branle-bas de combat.
Quinze jours avant le dévoilement des résultats du troisième trimestre, Fiera Capital sert deux mauvaises nouvelles à ses actionnaires.
Deux premiers analystes voient d'un bon œil l'arrivée le 14 novembre novembre de Vincent Duhamel en tant que président et chef de l'exploitation globale de Fiera Capital.
Plusieurs chocs secouent les Bourses en même temps, surtout à cause de leur effet de surprise.
Même si après sept ans de marchés haussier il est plus ardu qu'avant de dépister des secteurs boudés ou qui n'ont pas participé à l'élan, Martin Roberge, stratège quantitatif de Canaccord Genuity, revient à la charge avec trois thèmes à contre-courant pour 2017.
Depuis l’élection de Donald Trump, les marchés voguent de surprises en surprises, à commencer par le gain inattendu de 6 à 8% des Bourses américaines alors que nombre d’observateurs avaient prévu un désastre.
Les fonds de placement immobilier à capital fermé, mieux connus sous leurs sigles FPI (REIT, en anglais), prennent du galon à la Bourse de Toronto.
Les pros sont moins pessimistes qu'ils ne l'étaient un mois plus tôt, mais ils restent prudents.
Bien que le récent rebond du pétrole redonne un léger souffle aux titres des banques, rarement auront-elle dévoilé leurs résultats dans un tel niveau d’anxiété.