les sceptiques seront confondus. L'euro est une devise solide, qui est là pour rester dans un avenir prévisible, affirme l'ancien président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet.Selon lui, l'existence de l'euro n'a jamais été réellement mise en cause par les marchés au plus fort de la crise de la dette souveraine en 2011, et ce, même si des multinationales se préparaient à la fin de la monnaie unique.
Le vieillissement de la population du Japon est en train de transformer la troisième économie mondiale.Pour certains, il exerce une pression insoutenable sur les finances publiques et sur la disponibilité de la main-d'oeuvre. Pour d'autres, il engendre de formidables occasions d'affaires.Tout comme le Québec, le Japon est l'une des sociétés qui vieillit le plus. Deux facteurs accentuent cette tendance dans ce pays comme dans plusieurs économies industrialisées : la faiblesse du taux de natalité et l'augmentation de l'espérance de vie.
investir en russie paraît plus risqué que jamais, selon des experts consultés.En outre, les sanctions de l'Occident contre le régime du président russe Vladimir Poutine, accusé d'attiser le conflit en Ukraine orientale, commencent à nuire à l'économie de la Russie et à miner la confiance des investisseurs.Rappelons que cette crise politique a débuté en novembre, lorsque le président ukrainien Viktor Ianoukovitch a refusé de signer un accord d'association économique avec l'Union européenne.
Les résidents canadiens qui investissent à l'étranger sont soulagés. Devant le tollé provoqué par les modifications apportées au formulaire T1135 lors du budget fédéral 2013, l'Agence du revenu du Canada (ARC) assouplit temporairement cette déclaration fiscale.Ainsi, l'ARC offre désormais le choix d'utiliser soit l'exception relative à la déclaration d'un formulaire T3 ou d'un T5, soit la méthode de déclaration transitoire pour 2013 aux particuliers qui possèdent un compte auprès d'un courtier canadien en valeurs mobilières inscrit.
La nouvelle ne fait pas les manchettes, mais elle commence à se propager dans les milieux financiers : la Corée du Sud est devenue un marché attrayant pour les investisseurs étrangers en quête d'aubaines.C'est pourquoi Hexavest, un gestionnaire de portefeuille de Montréal, investit de façon importante pour ses clients dans la quatrième économie asiatique. La firme utilise notamment des fonds négociés en Bourse (FNB), un produit qui peut contenir des titres d'entreprises, des matières premières et des obligations.
Le nouveau centre d'excellence en finance du Québec (CEFQ) comblera des lacunes et apportera une valeur ajoutée à l'industrie financière québécoise, affirme Éric Lemieux, directeur général de Finance Montréal et du Centre financier international de Montréal.«Nous voulons créer une meilleure adéquation entre les ressources humaines et les besoins de l'industrie financière», dit-il au cours d'un entretien avec Finance et Investissement.
La Caisse de dépôt et placement du Québec a réalisé un rendement consolidé de 13,1% pour la période se terminant le 31 décembre 2013. L'institution bat ainsi son indice de référence, dont le rendement s'est établi à 12,6%.
Finance Montréal, l'organisme qui chapeaute la grappe financière du Québec, mettra bientôt sur pied un centre d'excellence en finance. L'objectif? Faire une meilleure adéquation entre la formation de la relève en finance et les besoins de l'industrie.
Le yuan chinois détrônera un jour le dollar américain au sommet du système financier international, dans un nouvel ordre mondial où quelques devises importantes se côtoieront, selon des spécialistes.La poussée du yuan risque de faire subir au dollar américain un sort semblable à celui qu'a connu la livre sterling après la Deuxième Guerre mondiale.
Les prix des ressources ne s'effondreront pas comme ils l'ont fait durant la récession de 2008-2009. Malgré le nouveau rythme de croissance de l'économie chinoise, qui est inférieure à 8 %, leurs cours resteront assez élevés, car les pays émergents ont besoin de ressources pour se développer.«Je crois que les plans d'affaires des entreprises devraient encore s'appuyer sur des scénarios de prix des ressources naturelles relativement élevés», affirme Stéfane Marion, économiste et stratège en chef à la Financière Banque Nationale.