Le grand patron de la Caisse de dépôt, Michael Sabia, redoute une importante volatilité sur les marchés financiers dans les prochains mois, avec le resserrement des conditions monétaires par les banques centrales, un possible conflit commercial Chine-États-Unis, et la diminution des impacts de la stimulation fiscale américaine.
Le rendement de la Caisse de dépôt et placement a fortement ralenti au premier semestre en comparaison avec les années précédentes, en raison de marchés financiers plus difficiles. L'institution affiche tout de même une performance supérieure à son portefeuille de référence.
L'ancien premier ministre Bernard Landry estime qu'il est temps pour le gouvernement de stimuler l'économie et de relâcher pour un temps les cibles budgétaires.
La rente de longévité est une occasion pour le Québec d'exercer un leadership dans le reste du Canada, a estimé mardi, le président du comité d'experts sur l'avenir du système de retraite québécois, Alban D'Amours.
VAL. BOURS. : 2,6 G$ C./BÉN. : 11,9 DIV. : 3,2 % 1 000 $ INVESTI IL Y A 7 MOIS VAUT 984 $L'action de l'opérateur des Bourses de Toronto et de Montréal s'échange à un multiple relativement élevé, note Shubha Khan, de la Financière Banque Nationale. Selon lui, le titre ne s'appréciera que s'il y a une reprise significative sur les marchés financiers. La prévision de bénéfice en 2013 est de 3,15 $ par action, tandis que celle de 2014 est à 3,85 $. L'analyste renouvelle une recommandation «performance de secteur». Sa cible est ramenée de 57 $ à 52 $.¹ Il est possible que l'opinion de l'auteur diffère complètement de celle des analystes.Chaque graphique compare sur un an la croissance d'un titre par rapport à celle de son sous-indice ou indice de référence.
VAL. BOURS. : 7,9 G$ US C./BÉN. : 123,0 DIV. : S.O. 1 000 $ US INVESTI IL Y A 3 ANS VAUT 221 $ USBlackBerry va offrir sa messagerie aux systèmes d'exploitation iPhone (Apple) et Android (Google). La décision risque d'affaiblir la marque de la société ontarienne, pour qui l'échange de messages était un élément différenciateur, pense Scott Penner, de Valeurs mobilières TD. La prévision de bénéfice de 2014 reste à 0,42 $ US par action et celle de 2015 est à 0,84 $ US. Il renouvelle une recommandation «conserver». La cible est à 17 $ US.¹ Il est possible que l'opinion de l'auteur diffère complètement de celle des analystes.Chaque graphique compare sur un an la croissance d'un titre par rapport à celle de son sous-indice ou indice de référence.
VAL. BOURS. : 2,6 G$ C./BÉN. : 10,2 DIV. : 4,4 % 1 000 $ INVESTI IL Y A 3 ANS VAUT 1 720 $Les risques associés au titre de la société mère du programme de fidélisation Aéroplan sont plus importants que son potentiel haussier, croit Anthony Zicha, de Banque Scotia. Le renouvellement d'une entente avec la CIBC et la décision du Bureau de la concurrence sur la surcharge de crédit soulèvent des inquiétudes à l'égard du titre de l'entreprise montréalaise. Il émet une recommandation «sous-performance de secteur». La cible est à 14 $.¹ Il est possible que l'opinion de l'auteur diffère complètement de celle des analystes.Chaque graphique compare sur un an la croissance d'un titre par rapport à celle de son sous-indice ou indice de référence.
VAL. BOURS. : 2,8 G$ C./BÉN. : 12,5 DIV. : 1,8 % 1 000 $ INVESTI IL Y A 3 ANS VAUT 1 123 $Le secteur militaire, en raison du resserrement des dépenses, pose des problèmes au fabricant de simulateurs de vol de Montréal. Cependant, Ben Cherniavsky, de Raymond James, estime que les initiatives de rationalisation positionnent bien la société. Il note que les marges sont sous pression en raison de la concurrence et des mesures de restructuration. L'analyste maintient une recommandation «surperformance». Sa cible passe de 12 $ à 12,50 $.¹ Il est possible que l'opinion de l'auteur diffère complètement de celle des analystes.Chaque graphique compare sur un an la croissance d'un titre par rapport à celle de son sous-indice ou indice de référence.
VAL. BOURS. : 38,4 G$ US C./BÉN. : 12,9 DIV. : 3,2 % 1 000 $ US INVESTI IL Y A 3 ANS VAUT 1 330 $ USLe producteur d'engrais de la Saskatchewan a augmenté son dividende de façon impressionnante au cours des dernières années (950 % depuis 2011), constate Paul D'Amico, de Valeurs mobilières TD. La direction a confiance en sa capacité de générer d'importants flux de trésorerie dans les prochaines années. M. D'Amico anticipe un programme de rachat d'actions. Il renouvelle une recommandation d'achat à l'égard du titre. Sa cible est à 50 $ US.¹ Il est possible que l'opinion de l'auteur diffère complètement de celle des analystes.Chaque graphique compare sur un an la croissance d'un titre par rapport à celle de son sous-indice ou indice de référence.
Ce n'est pas dans les meilleures circonstances que le nouveau président du conseil de Rona (Tor., RON, 10,42 $), Robert Chevrier, et son nouveau chef de direction, Robert Sawyer, ont rencontré leurs actionnaires pour la première fois, il y a quelques jours.Les résultats du premier trimestre, ont été fort décevants : une perte de 0,19 $ par action, par rapport à un consensus d'une perte de 0,14 $ et une perte de 0,11 $ au cours du même trimestre l'an dernier.