Imaginez que vos amis et leurs parents vivent une tragédie sans précédent. Et qu'ils soient vos clients. Vous leur apportez soutien et réconfort, tout en faisant tous les efforts pour alléger leurs tracas, car vous n'êtes pas seulement leur ami, mais aussi leur conseiller. Vous faites tout ça, et plus encore. C’est le quotidien du conseiller en sécurité financière Michel Proteau depuis samedi.
AJOUTS - L'industrie de l'assurance de la région se mobilise pour porter secours à sa clientèle éprouvée par la tragédie qui a fait jusqu'ici une vingtaine de morts et une trentaine de disparus.
La qualité de la négociation boursière est en baisse, les investisseurs perdent confiance, et les marchés boursiers s’en ressentent. Sans compter que les PME ayant besoin de financement ont difficilement accès au processus d’inscription boursière, lourd et coûteux.
Qu'on se le tienne pour dit, la mi-juillet marque une nouvelle étape dans la vie des conseillers. De nouvelles dispositions prendront effet qui donneront certainement vie à beaucoup de discussions.Ces dispositions portent sur les informations à fournir aux détenteurs de parts de fonds communs, qu'ils soient conseillés par des représentants en épargne collective ou par des représentants en valeurs mobilières.
La percée du mouvement Desjardins dans l'Ouest canadien signale l'ouverture d'un nouveau front dans la lutte pour les parts de marché qui oppose les coopératives financières aux grandes banques à charte.C'est du moins la lecture qu'on peut faire des cinq acquisitions réalisées par la coopérative de Lévis depuis 2010.
les produits structurés, ou «notes synthétiques», qui ont causé tant de tort à la finance mondiale en 2008, refont surface.En raison des taux au plancher, la course au haut rendement favorise l'émergence d'une nouvelle vague d'obligations structurées adossées à des emprunts.
À l'heure de la consolidation et de l'explosion des coûts, la survie des petits cabinets semble relever du miracle.Pourtant, la petitesse est justement la condition qui permet à Planifax de rester rentable, malgré les pertes de revenus causées par les récents bouleversements financiers et économiques.«Nous avons déjà eu une trentaine de représentants, mais ce n'était pas rentable», explique Doris Allard. Les coûts fixes associés à l'administration d'une grande équipe étaient trop importants et rognaient la marge bénéficiaire de l'entreprise, explique celle qui a rencontré Daniel Bissonnette au milieu des années 1980, alors qu'ils travaillaient tous deux chez Groupe Investors.
Les appels publics à l’épargne se suivent et ne se ressemblent pas : si plus de la moitié des financements publics offerts au pays échappe aux investisseurs québécois, la valeur des émissions à laquelle les investisseurs québécois ont accès sur le marché primaire demeure importante. Très importante. Ce qui n'empêche pas les petits négociants de titres de rater des occasions d'affaires.
L'importance des économies émergentes pour la finance mondiale, Chine en tête, pourrait bien diminuer au cours des prochaines décennies, selon le prévisionniste Éric Noël, d'Oxford Analytica, une firme internationale d'experts-conseils.Au premier chef des risques souvent sous-estimés, le fait que «la Chine, notamment, semble avoir de moins en moins besoin de l'Occident», explique le vice-président du cabinet d'analystes.
La consultation sur les frais des fonds communs lancée par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) l'automne dernier fait couler beaucoup d'encre.Dans les 93 (!) mémoires soumis aux régulateurs, deux grands thèmes se dégagent des réponses fournies par l'industrie : l'importance de distinguer les frais payés pour un produit des frais payés pour du conseil, et la divulgation des structures de rémunération.