Un peu plus de la moitié des 100 plus importantes sociétés canadiennes cotées en Bourse produisent les documents réglementaires en anglais seulement.Pis encore, plus de la moitié des financements par prospectus échappent aux investisseurs institutionnels de la Belle Province.Un manque à gagner important, dont l'impact sur l'industrie financière québécoise se mesure en pertes d'emplois, comme l'illustrent les données recueillies par Finance et Investissement.
Tout ce que vous dites sera retenu contre vous.La confidentialité des renseignements, témoignages et preuves colligés par l'AMF n'est pas toujours assurée, cautionnent des experts.«Nous ne croyons pas que l'AMF ait respecté la loi. Il y a eu des ordonnances qui ont été rendues, [et des documents] ont été transmis en transgression de ces ordonnances.»
FINTECH 2013 - Non seulement la croissance économique des années passées est-elle, justement, chose du passé, mais la fin du pétrole à rabais aura un impact significatif sur l’économie en général et la mondialisation en particulier. C’est la thèse soutenue par l’économiste Jeff Rubin, lors de son passage jeudi à Montréal.
AJOUTS - La Chambre de la sécurité financière (CSF) tient à préciser certaines informations relayées par Finance et Investissement dans sa couverture des déboires réglementaires du représentant Michel Marcoux.
Alors que le gouvernement fédéral indiquait sa volonté, dans le dernier budget, de poursuivre ses efforts en vue de mettre en place une commission nationale des valeurs mobilières, l’appui donné par le Fonds monétaire international (FMI) à l’initiative d’Ottawa a fait réagir le patron de l’AMF, Mario Albert, qui déplore l’ingérence des organismes internationaux dans ce dossier.
Depuis sa dernière révision majeure, en 1974, la Loi sur les assurance a subit plus de 200 modifications législatives. C’est pourquoi « il serait opportun dans le cadre de la révision quinquennale de revoir la structure de la [Loi sur les assurances] de façon à la rendre plus ordonnée », indique le ministre des Finances Nicolas Marceau, dans le tout récent « Rapport d’application de la Loi sur les assurances », déposé mardi à l’Assemblée nationale.
Faiblesse du marché des actions, augmentation du fardeau de la réglementation, consolidation et démographie : autant de variables qui touchent différemment les courtiers en valeurs mobilières, selon leur taille.Les plus récentes données colligées par l'Association canadienne du commerce des valeurs mobilières (ACCVM) illustrent une tendance lourde.
Pour le dixième anniversaire du portefeuilliste montréalais qu'il a fondé, Jean-Luc Landry veut enrichir la gamme de ses produits, tout en adaptant son style de gestion.L'ex-Landry Morin avait déjà lancé une première série de mesures qui visaient à élargir son offre, voici deux ans, en ouvrant ses fonds au marché de détail.
«Depuis 10 ans, et après avoir dépensé plus de 1 G$ en fonds publics, nous n'avons réussi à faire condamner qu'une seule personne.»C'est le résumé assassin que fait la sénatrice Pierrette Ringuette de l'application de la Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes, de son nom abrégé, lors des audiences portant sur la révision quinquennale de la législation, l'an dernier.
Les clients sont généralement insatisfaits de leur conseiller dans une proportion de 20 %, alors qu’un autre 20 % ne sont ni satisfaits, ni insatisfaits des services reçus. « C’est donc 40 % de vos clients qui n’ont pas, à priori, une bonne opinion de vous », explique Eric Azran, avocat chez Stikeman Elliot, pour justifier l’importance pour les conseillers de ne pas prendre la connaissance de leur client à la légère.