Laval est une des régions québécoises qui connaît une forte expansion dans tous ses secteurs, notamment grâce à la forte croissance des industries de services, qui comptent pour 76 % du produit intérieur brut (PIB) régional, par rapport à 70 % pour l'ensemble du Québec.En raison d'un essor démographique anticipé de 28 % d'ici à 2031, c'est également une région dont la croissance devrait se poursuivre pendant plusieurs années encore.
La vente de produits d'assurance personnelle par correspondance en est à ses balbutiements au Canada.Alors que l'industrie vend de l'assurance accessoire ou des produits afférents à un bien depuis longtemps par l'intermédiaire de la distribution sans représentant, le publipostage et la distribution par Internet sont deux modes relativement nouveaux.«C'est une façon d'aller chercher les clients qui ne font pas affaire avec des représentants ou ceux qui préfèrent effectuer leurs transactions eux-mêmes, en ligne par exemple», explique Julie Barker-Mertz, vice-présidente et chef de l'exploitation de BMO Assurance.
Nouveau président, nouveau mandat, nouvelle approche réglementaire. «L'industrie évolue, nos membres aussi. Il faut que la réglementation et l'ACCFM évoluent elles aussi», explique le nouveau président de l'Association canadienne des courtiers de fonds mutuels (ACCFM), Mark Gordon. Celui qui a été pendant 14 ans le bras droit de l'ancien président Larry Waite juge ainsi qu'il est temps de faire preuve de souplesse dans l'application des règles.L'ACCFM se distingue par son approche particulièrement prescriptive de la réglementation. Les règles et procédures imposées par cette dernière doivent être suivies à la lettre.
Le régulateur des fonds communs au Canada souhaite assouplir quelques-unes de ses règles pour davantage tenir compte de la réalité commerciale des cabinets en épargne collective. Ainsi, l’Association canadienne des courtiers de fonds mutuels (ACCFM) propose d’amender la règle 2.5.5 sur le directeur de succursale, la politique numéro 2 sur la supervision des comptes et son règlement numéro 1 sur la définition de personne responsable.
C'est du moins ce que révèlent les données de notre sondage annuel sur les perceptions des conseillers concernant la nouvelle année.Ces derniers semblent optimistes quant aux rendements des indices boursiers qu'ils anticipent, comme l'illustre notre histogramme. Plus du tiers s'attendent à un rendement des principaux indices canadiens et américains oscillant entre 5 et 10 %, alors qu'une petite minorité estime que les rendements pourraient atteindre les deux chiffres.
Le secteur du placement hésite à divulguer combien les clients paient pour les services qu'ils obtiennent. Et ce, alors que le vent semble vouloir tourner, ici comme ailleurs.Les régulateurs constatent cependant «qu'il y a d'importantes lacunes à combler en ce qui a trait à la compréhension des investisseurs. [...] Les recherches indiquent également que les investisseurs ne savent pas vraiment comment les conseillers sont rémunérés, voire pas du tout», peut-on lire dans le document de consultation sur la Règle 81-407 qui porte sur les frais des fonds communs des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).
L'environnement économique actuel, conjugué aux pertes essuyées par les portefeuilles durant les dernières années, pousse les investisseurs à rechercher davantage de sécurité. Celle-ci se trouve dans les actions négociées au rabais.La recherche de sécurité peut augmenter le risque du portefeuille, cautionnent les experts. D'une part, les titres de grande capitalisation - les fameux blue chips, réputés sûrs - «semblent être largement surévalués», explique Patrick Farmer, associé et chef de la direction de Gestion de patrimoine Edgepoint.
Shelly Copoloff cherchait simplement un emploi d'été pendant la pause universitaire. Son frère Charles, nouveau bachelier, se donnait cinq ans pour tâter de l'assurance de personnes.Sydney, leur père, explique qu'il n'entretenait aucune attente envers ses enfants pour assurer la relève de l'agent général principal qu'il a fondé en 1964 à Montréal.
PERSPECTIVES 2013 – Notre sondage annuel sur les attentes des conseillers pour la nouvelle année recense un certain optimisme face aux marchés, des sentiments partagés face aux questions de divulgation de la rémunération et des préoccupations par rapport à l’endettement personnel des clients.
Ce sera finalement sa faillite frauduleuse qui aura eu raison de l'ancien vice-président de Norbourg, Éric Asselin. Ce dernier écope de trois ans de prison, reconnaissant sa culpabilité à une accusation de fraude, jeudi.