Très nombreux sont les conseillers financiers qui vous disent aujourd’hui d’acheter sur faiblesse, ou selon l’expression consacrée, «buy the dips». Est-ce vraiment la bonne façon d’agir actuellement ?
Peu de jours passent sans que l’on s'inquiète du niveau atteint par les marchés boursiers. Qu'à cela ne tienne, les investisseurs ne cessent d'acheter et les indices continuent leur marche vers des sommets toujours plus hauts. Est-ce raisonnable de faire fi d'une valorisation boursière aussi élevée ?
Des participants aux marchés financiers nous racontent comment ils ont vécu le moment et nous offrent leurs perspectives quant à la possibilité d’une répétition de ces moments troubles.
Taux d'intérêt à zéro et achats massifs d'obligations nous ont sorti de la crise mais pourraient nous y replonger.
Alors qu’il ne reste plus que trois mois à courir à l’année 2107, êtes-vous satisfaits de vos rendements boursiers ? Pouvez-vous en espérer davantage ou devez-vous protéger vos gains actuels ? La réponse semble différente selon que vos investissements soient à la Bourse de New York ou sur le marché canadien.
Maintenant que la Réserve fédérale américaine (Fed) entreprend la réduction de la taille de son bilan, il faut croire que les Bourses qui ont carburé aux liquidités injectées par celle-ci depuis plusieurs années vont maintenant connaître une période plus difficile.
À cause de son impact sur le dollar canadien, la rapidité à laquelle la Banque du Canada (BdC) resserre la politique monétaire fait mal aux investisseurs canadiens qui détiennent des positions en actions américaines. Peuvent-ils s’en protéger? Ou est-ce tout simplement trop tard?
Les dirigeants des grandes entreprises américaines ont fait savoir qu'ils en avaient assez de l'attitude du Président Trump et ont décidé de saborder deux comités consultatifs sur lesquels plus de trente d'entre eux avaient accepté de siéger à l'invitation du nouvel occupant de la Maison-Blanche l'hiver dernier.
Les bénéfices d’Apple pour le dernier trimestre ont surpassé les attentes et le titre a touché un nouveau sommet. Propulsés par les gros titres techno, la plupart des indices boursiers atteignent également des niveaux records. Est-ce un signe que rien ne peut empêcher la poussée boursière de se poursuivre et de produire de nouveaux records? Il est certainement permis d’en douter compte tenu des vues diamétralement opposées que nous présentent certains experts.
Depuis février à la Bourse de New York le S&P 500 s’est apprécié de 7,8 % et se situe à un sommet historique. À Toronto, contrairement, le S&P/TSX a perdu 4,6% durant la même période.