Aux chapitres des réalisations, l’administration Trump s’avère un échec lamentable jusqu’à maintenant. Mais bien que l’indignation gagne de plus en plus d’américains, les marchés boursiers atteignent de nouveaux sommets. Comment est-il possible que l’indice S&P 500 puisse gagner 10% et le Nasdaq 17% depuis le début de l’année malgré le chaos qui règne à Washington?
Tous s’y attendaient. La Banque du Canada (BdC) a haussé son taux d’intérêt directeur de 0,25 % mercredi le 12 juillet. Il se situe maintenant à 0,75 %. Et la majorité des économistes prévoit une autre hausse similaire en septembre ou octobre.
Les investisseurs qui ont opté pour conserver leurs actions américaines et internationales ont été bien récompensés durant la première moitié de l’année. Mais en sera-t-il de même au cours des prochains six mois ? Aurait-on atteint un niveau d’euphorie trop élevé ?
Un fort consensus existait en début d’année chez les économistes que la Banque du Canada (BdC) n’augmenterait pas son taux d’intérêt directeur avant 2018. Plusieurs croient maintenant qu’elle le fera en octobre, sinon dès juillet. Est-ce inévitable?
Les esclandres du président américain n'en finissent plus. Celle dirigée récemment vers les allemands et leur chancelière Angela Merkel risque selon plusieurs d'entrainer les américains vers un isolement économique qui n'augure rien de bon. À cela s'ajoute maintenant le retrait des accords de Paris sur l'environnement. Le moment est-il venu de diminuer ses investissements dans les titres américains?
Les positions à découvert sur le dollar canadien ont atteint la semaine dernière un niveau record. Est-ce que ces excès de la part des spéculateurs présagent d’un renversement de tendance?
Même si Home Capital Group (HCG) a donné des sueurs froides à certains investisseurs, il appert qu'il n'y aura pas de contagion dans le système financier canadien, bien que certains prêteurs alternatifs pourraient être affectés.
Malgré les ratés de l’administration Trump, les marchés boursiers montrent une étonnante résilience. Tandis que l’indice Standard and Poor 500 est à quelques points de son sommet historique, les experts ont de plus en plus de mal à l’expliquer.
L'annonce «phénoménale» en ce qui a trait aux impôts des particuliers et des sociétés promise par Donald Trump a finalement eu lieu avec près de deux mois de retard. Curieusement, lors des deux séances boursières qui ont suivi, les indices ont très peu réagi. Serait-ce que l'on doute de la réalisation de ce plan de réforme fiscale?
L’indice S&P 500 a touché son sommet il y a près de deux mois, soit le 1er mars. Bien que depuis ce moment le recul a été plutôt mitigé, n’excédant pas 3%, le graphique des variations quotidiennes laisse croire qu’une tendance à la baisse est peut-être en train de se former.