L’indice S&P 500 fracassait en début de semaine passée son record historique. En même temps, le taux des obligations américaines de 10 ans atteignait son plus bas niveau de l’histoire, soit 1,36 %. Comme le prix d’une obligation monte quand son taux de rendement baisse, force est de conclure que les prix des obligations sont aussi à un sommet de tous les temps.
Durant la semaine terminée le 1er juillet, celle suivant le référendum décidant du sort du Royaume-Uni dans l’Union européenne, l’indice-phare de la Bourse de Londres, le FTSE 100, a bondi de 7,2 %.
La panique boursière au lendemain du Brexit semble avoir été rapidement contenue. Mais il ne faut pas pour autant baisser sa garde, soutiennent certains stratèges et gestionnaires. «Nous sommes probablement au début d’une période de forte volatilité qui pourrait se poursuivre jusqu’à l’élection présidentielle américaine le 8 novembre», croit entre autres Larry Berman, président et gestionnaire de portefeuilles, ETF Capital Management.
Les obligations canadiennes ont offert un rendement intéressant aux investisseurs depuis le début de l'année. Que leur réserve l'après Brexit? Tout indique que cette bonne performance va se poursuivre d'ici la fin de l'année.
Les sondages indiquent que référendum du 23 juin portant sur la volonté du Royaume-Uni à quitter l’Union européenne (événement surnommé le Brexit) s’annonce très serré. Cela n'empêche pas les gestionnaires de portefeuilles mondiaux de miser gros sur le statu quo et de croire en une hausse soutenue du marché boursier londonien.
Les résultats trimestriels des banques canadiennes semblent satisfaire les investisseurs à un moment où leurs titres connaissent une belle remontée. Faut-il croire que de nouveaux sommets pointent à l’horizon pour ce secteur très prisé des investisseurs canadiens ?
La prochaine réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed) ne se tiendra que les 14-15-juin. Déjà les médias financiers sont inondés de déclarations des membres de la Fed et de la communauté des économistes quant à l’impact de la décision qui en résultera. La Fed haussera-t-elle le taux des fonds fédéraux ? Et si elle le fait, qu’arrivera-t-il à la bourse ?
Durant toute l’année 2015, la Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu les marchés financiers et les investisseurs dans l'attente du moment où elle entamerait la normalisation de sa politique monétaire en haussant son taux cible des fonds fédéraux.
À cause de son ampleur et de sa vitesse, la correction boursière aux États-Unis amorcée quelques jours avant le passage à l'an 2016 en amène plusieurs à craindre que l'on pourrait revivre la déroute boursière des années 2008-09.
Soumis à des pressions intenses depuis 2 semaines, l’indice Standard ans Poor's 500 de la Bourse de New York ne doit pas tomber sous la barre de 1 900 points. S’il venait à pénétrer ce niveau, la chute pourrait alors s’accélérer, croit certains analystes techniques.