PERSPECTIVES 2016 - Est-ce un avant-goût de ce que nous réserve l'année 2016 ?
«C’est la fin d’une période extraordinaire ». C’est ainsi que s’exprimait la présidente Janet Yellen à la suite de la réunion tant attendue de la Réserve fédérale américaine (Fed) hier.
Depuis le début de l'année, l’indice S&P 500 s’est apprécié d’à peine 1 %. Il faudrait donc une embellie boursière durant le mois de décembre pour conclure l'année avec un rendement, bien que modeste, à tout le moins acceptable.
Bien qu’il soit un peu tôt pour prévoir l’impact économique des attentats de Paris, il est difficile de croire qu’il sera positif. Qui plus est, ces événements se produisent à un moment ou de plus en plus d’économistes s’inquiétaient déjà des perspectives de l’économie mondiale.
Les attentats de Paris ont eu peu de conséquences sur les marchés financiers jusqu'à présent. Dans ce contexte, la question de savoir comment réagira le dollar américain à une hausse de taux d’intérêt par la Réserve fédérale (Fed) le mois prochain conserve toute son importance.
Parce que le 29 septembre l’indice Standard and Poor's 500 a testé avec succès son creux du 24 août, on peut maintenant croire qu'il est engagé dans une poussée qui le mènera vers de nouveaux sommets.
On assiste présentement à un tollé de critiques de la part de plusieurs ténors de la scène économique et financière américaine qui demandent à la Réserve fédérale américaine (Fed) de cesser de cultiver l'incertitude et de hausser les taux d'intérêt. Doit-elle céder aux pressions ?
La Banque Nationale élimine 300 emplois. « Ces abolitions de postes surviennent dans le cours normal des activités », assure le porte-parole de la Banque Nationale, Claude Breton.
Alors nous sommes en récession. Du moins nous l'étions. En effet, pour un deuxième trimestre consécutif, le PIB réel canadien a reculé. De 0,5% (à rythme trimestriel annualisé) cette fois-ci, comparativement à 0,8% au premier trimestre. On définit une récession comme étant 2 trimestres consécutifs de décroissance.
L’once d’or se négocie présentement à 1 112 $. Il y a à peine un an, elle cotait 1 350 $. Le métal jaune a donc perdu près de 18 % depuis 12 mois. Le prix de l’or est à son plus bas niveau depuis cinq ans. Où s’arrêtera la dégringolade ?