Les économistes Thomas Piketty et Robert J. Gordon ont jeté un pavé dans la mare en affirmant que les pays riches connaîtront une faible croissance économique au cours des prochaines décennies.Leurs écrits ont évidemment suscité un important débat en Europe et en Amérique du Nord.Dans son ouvrage Le capital au XXIe siècle publié en septembre 2013, Thomas Piketty prévoit une augmentation des inégalités à l'échelle mondiale. Celle-ci serait causée par un rendement du capital supérieur au taux de croissance de la production dans les pays riches.
GUIDE FNB - Les gestionnaires de portefeuille de R.E.G.A.R. Gestion privée n’ont pas tardé à adopter les fonds négociés en Bourse (FNB). La firme en inclut dans ses portefeuilles discrétionnaires depuis l’apparition de fonds reproduisant un secteur, en mars 2001, car ceux-ci cadrent avec sa politique d’investissement.
Selon certains experts, la baisse des titres des marchés émergents au cours des derniers mois ne devrait pas occulter leur potentiel à long terme.Les deux plus importants fonds négociés en Bourse (FNB) spécialisés dans les marchés émergents montrent bien l'ampleur de la baisse au cours des derniers mois.
Rien ne laisse présager un rebond durable du prix de l'or cette année, alors qu'il a connu sa pire chute en 30 ans en 2013.Le prix de l'once d'or s'établissait à 1 691 $ US à New York le 1er janvier 2013. Douze mois plus tard, il était descendu à 1 203 $ US, et est même passé sous la barre des 1 200 $ US en juin et en décembre.
L'année 2014 connaîtra-t-elle une récession nord-américaine ? Alors qu'un économiste croit que oui, d'autres experts interrogés estiment que les États-Unis présentent des conditions favorables à une croissance du PIB en 2014. Le Canada est, quant à lui, davantage à risque d'être en récession.Récession américaineAlbert Edwards, un stratège de la Société Générale, vient de publier deux rapports qui font état de risques de récession importants aux États-Unis. Il soutient notamment qu'une diminution des investissements des entreprises est à prévoir et que nous sommes en fin de cycle économique.
La performance des marchés boursiers au mois de janvier est généralement un bon indicateur de celle des titres pour l'ensemble d'une année civile.S'il faut se réjouir d'un mois de janvier positif, il vaut mieux cependant s'abstenir de s'en servir comme d'un baromètre dans une stratégie d'investissement, selon trois intervenants qui se sont attardés à ce phénomène saisonnier.