L'attrait pour les fonds communs dits éthiques ou socialement responsables ralentirait au profit d'autres stratégies d'investissement qui «verdissent» le monde de la finance.
Les conseillers en sécurité financière sont de plus en plus nombreux à être favorables à une réduction des écarts réglementaires entre les fonds distincts, et les fonds communs de placement (FCP).C'est ce que révèle, entre autres, le Baromètre 2017 de l'assurance de Finance et Investissement. À la question : Que pensez-vous du projet du Conseil canadien des responsables de la réglementation d'assurance (CCRRA) de divulguer les rendements et les frais pour les fonds distincts ?, 65 % des conseillers ont répondu qu'ils étaient d'accord.
Gilles Cloutier a débuté dans l'assurance en 1967, l'année de l'Expo. À l'image de cette époque, alors que le Québec s'ouvrait sur le monde, le fondateur du Groupe Cloutier a mené une carrière sans complexe face aux géants de son industrie.«Moi, quand on me dit que ça ne marchera pas, ça me motive !» dit l'homme de 70 ans, qui, bien qu'à l'aube de la retraite, n'a rien perdu de la passion et de l'énergie qui l'animent depuis ses débuts.
TOP 11 DES CABINETS MULTIDISCIPLINAIRES 2017 - Les conseillers montrent un attachement aux associations et aux groupes d'intérêt de l'industrie, mais ils sont sceptiques quant à leur réel pouvoir d'influence.Voilà l'un des éléments qui ressortent du sondage exclusif du Top 11 des cabinets multidisciplinaires de Finance et Investissement.
Il a vendu les premières actions du Régime d'épargne-actions du Québec (RÉA), a contribué à la création de l'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) et est un pionnier de la gestion de patrimoine au Québec.Nommez un tournant de l'histoire récente de l'industrie financière québécoise et vous y trouverez Luc Papineau.
TOP 8 DES COURTIERS QUÉBÉCOIS 2017 - Les nouveaux relevés de rendement et de frais ont été bien accueillis par les clients en général, mais les conseillers croient que beaucoup n'en ont pas saisi toutes les subtilités.
Une majorité de répondants au sondage annuel du Pointage des régulateurs sont contre l'abolition des commissions intégrées.À la question «Que pensez-vous des propositions de la consultation au sujet de l'option d'abandonner les commissions intégrées ?», les deux tiers des répondants se sont prononcés contre cette proposition des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM), qui incluait aussi la possibilité d'interdire les commissions selon l'option des frais d'acquisition reportés (FAR).
Plusieurs membres de l'industrie craignent que la lourdeur de la règlementation, l'abolition des commissions intégrées et les changements technologiques finissent par rayer de la carte les petites firmes indépendantes.C'est ce qui ressort d'un sondage mené par Finance et Investissement auprès de 95 chefs de conformité, dirigeants de firmes et directeurs de succursales dans les secteurs de l'assurance, de l'épargne collective et du courtage de plein exercice.
Trouver quelqu'un qui ne connaît pas Gilles Garon dans le Bas-Saint-Laurent est tout un défi ! Ce planificateur financier, dont le cabinet sert 2 500 clients dans la région, est aussi le maire des 5 000 citoyens de Témiscouata-sur-le-Lac.«C'est un peu comme si j'avais deux vies !» lance le principal intéressé, qui se décrit lui-même comme un «réseauteur de nature» et qui a fait de ses talents d'entremetteur la mission d'une vie.
Trop de conseillers vendent de l'assurance vie universelle comme un produit de placement en faisant miroiter ses avantages fiscaux. Au même titre qu'un CELI, disent-ils, cet outil permet de faire fructifier son argent à l'abri de l'impôt.Rien n'est plus faux, selon Denis Preston, planificateur financier et formateur à l'Institut québécois de planification financière : «Ce n'est pas le cas, mais puisque c'est l'assureur qui paie, au nom de l'assuré, et non le titulaire de la police, on ne le voit pas».