Top 25 - Trouver quelqu'un qui ne connaît pas Gilles Garon dans le Bas-Saint-Laurent est tout un défi ! Ce planificateur financier, dont le cabinet sert 2 500 clients dans la région, est aussi le maire des 5 000 citoyens de Témiscouata-sur-le-Lac.«C'est un peu comme si j'avais deux vies !» lance le principal intéressé, qui se décrit lui-même comme un «réseauteur de nature», qui a fait de ses talents d'entremetteur la mission d'une vie.
Top 25 - N'eut été de sa méconnaissance du territoire québécois, Valérie Cecchini n'aurait peut-être jamais fait une carrière en finance.Lorsque cette gestionnaire de portefeuille d'origine italienne, née en France, a choisi de s'établir au Québec et de s'inscrire à l'Université du Québec à Chicoutimi, elle croyait déménager quelque part en banlieue de Montréal.
Les assureurs ont jusqu'au 15 septembre 2017 pour mettre en oeuvre les lignes directrices de l'Autorité des marchés financiers (AMF) en matière de gouvernance. Les questions de rémunération et de divulgation sont au coeur des nouvelles règles.Dans un récent bulletin de l'AMF, une trentaine de pages détaillent la nouvelle ligne directrice en matière de gouvernance.
Certains conseillers n'y voient que des avantages, d'autres n'y voient que des inconvénients, et bon nombre, s'ils le pouvaient, la feraient disparaître. Cette règle honnie est l'analyse des besoins financiers (ABF).«Dans notre domaine, c'est un peu comme Voldemort», ironise David Blondeau, conseiller en sécurité financière de Gestion financière Blondeau et représentant de courtier en épargne collective rattaché à Mica Capital.
Bien que certaines différences méritent que l'on s'y attarde, plusieurs membres de l'industrie se disent favorables à ce que l'écart entre la réglementation des fonds distincts et celle des fonds communs de placement (FCP) soit réduit afin de mieux protéger les clients.Rappelons qu'en mai dernier, le Conseil canadien des responsables de la réglementation d'assurance (CCRRA) a déposé son document de consultation sur les fonds distincts, qui étudiait notamment les écarts réglementaires qui subsistent entre ce type de produits et les FCP.
Denis Preston ne se doutait pas que la toute première entrevue d'embauche qu'il allait faire après ses études «juste pour s'entraîner» déboucherait sur une carrière de près de 30 ans dans l'industrie financière.Il rit de bon coeur en racontant l'anecdote. «Je n'avais jamais voulu travailler en assurance. J'ai répondu à la première offre d'emploi que j'ai vue, et le problème, c'est que cela a marché !»
FOCUS FCP - Retraites anticipées, pénurie de relève, guerre des prix, petits investisseurs laissés pour compte ; nombreux sont ceux qui redoutent l'abolition des commissions intégrées préconisée par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM), en raison des répercussions importantes anticipées sur l'industrie des fonds communs de placement.«Avec toutes les conséquences prévisibles, sans compter celles auxquelles on ne pense même pas, est-il nécessaire d'aller jusqu'à l'abolition ?» C'est ce que se demande François Bruneau, vice-président, administration-Investissement chez Groupe Cloutier.
En général, les investisseurs n'aiment pas le risque. Ils achètent des assurances, ils ont des portefeuilles diversifiés et ils souhaitent obtenir le meilleur rendement possible en courant le moins de risques possible.Au cours des dernières années, l'apparition sur le marché de fonds à faible volatilité a permis de prendre en compte ces préoccupations. Mais comment sont bâtis ces fonds ? Que contiennent-ils et pourquoi (et pour qui) s'en sert-on ?
Les conseillers en sécurité financière sont partagés en ce qui concerne les écarts réglementaires entre les Contrats individuels à capital variable (CIVC), communément appelés fonds distincts, et les fonds communs de placement (FCP), selon l'édition 2016 du Baromètre de l'assurance de Finance et Investissement.Les 152 conseillers répondants au sondage ont été appelés à répondre à la question suivante : «Que pensez-vous de l'écart actuel entre l'encadrement réglementaire de la distribution les fonds communs et celui des fonds distincts ?»
Entre 2005 et 2006, le nombre de diplômés de l'Institut québécois de planification financière (IQPF) est passé de 636 à 121, une chute vertigineuse. Depuis, bon an, mal an, l'IQPF diplôme en moyenne 170 nouveaux candidats par année, soit cinq fois moins qu'il y a 10 ans.Pour Jocelyne Houle-LeSarge, présidente et directrice générale de l'IQPF, cette baisse est loin d'être une calamité. Au contraire, elle est le résultat d'une stratégie soigneusement planifiée pour donner toute sa valeur au titre.