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Les régimes de retraite à prestations déterminées (RPD) ont connu des jours meilleurs. Non seulement ils sont moins nombreux, mais ceux qui existent encore sont pris dans un cercle vicieux dont ils peinent à se sortir.«Pour gérer le risque de taux d'intérêt, les employeurs achètent des obligations à long terme, ce qui fait augmenter leur prix et diminuer leur rendement. Et plus les taux sont bas, plus la valeur du passif augmente, plus les promoteurs réduisent le risque en achetant des obligations à long terme», explique Michel Jalbert, premier vice-président, développement des affaires et partenariat avec la clientèle d'Addenda Capital.

  • 1 mars 2016 1 mars 2016
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Au fur et à mesure que les services financiers s'intègrent et se complexifient, des voix s'élèvent pour exiger une formation plus uniforme des représentants. «Il faut travailler pratiquement un an avec quelqu'un d'expérience pour installer des moulures autour d'une porte, alors qu'on peut gérer des millions du jour au lendemain sans autre forme de contrôle, à part un examen.»

  • 1 mars 2016 1 mars 2016
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Pour Yvan Mathieu, gérer le portefeuille d'un client est comme entraîner une équipe de hockey. Il faut établir un plan de match et s'y tenir, mais il faut aussi mettre à profit ses meilleurs attaquants pour marquer des buts.«C'est important de garder le cap, beau temps, mauvais temps, mais pour gagner, ça prend aussi les meilleurs marqueurs», dit le planificateur financier, cofondateur de Groupe Mathieu Turgeon et représentant en épargne collective pour Mica Capital.

  • 15 février 2016 15 février 2016
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Sans parler de ruée, certains économistes et portefeuillistes jugent que le moment est venu d'accroître la pondération de titres canadiens dans les portefeuilles.C'est ce qui est ressorti d'un déjeuner-causerie de CFA Montréal animé par Clément Gignac, vice-président principal et économiste en chef à l'Industrielle Alliance, le 27 janvier dernier.

  • 15 février 2016 15 février 2016
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Sur son bureau trône un petit inukshuk, structure de pierres érigée traditionnellement par les Inuits pour retrouver leur chemin. René Gagnon aime bien le symbole, car il représente bien ce qu'il veut être pour ses clients : un repère financier.«Quand il fait beau, on n'en a pas toujours besoin, mais dans la tempête, il faut un ancrage», dit ce gestionnaire de portefeuille et conseiller en placement qui travaille dans l'industrie depuis 24 ans.

  • 15 février 2016 15 février 2016
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Les conseillers qui songent à transférer leur clientèle devront porter une attention particulière aux taxes de vente. Pour certaines portions de leur book d'affaires, dont celle qui génère des honoraires taxables, ils devront facturer à l'acheteur la taxe sur les produits et services (TPS) et la taxe de vente du Québec (TVQ).Généralement, lorsqu'on vend une entreprise, la liste de clients ou encore ce qu'on appelle l'achalandage ou book d'affaires, est incluse dans l'ensemble des actifs de l'entreprise. La Loi prévoit des exemptions au paiement des taxes dans le cas d'un transfert de la totalité ou presque (90 %) des actifs de l'entreprise.

  • 15 février 2016 15 février 2016
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DOSSIER REER 2016 - Certains clients qui ont retiré des sommes en trop en vertu de l'ancien taux minimum ont tout intérêt à remettre le montant excédentaire dans leur FERR. Exceptionnellement, en 2015, il sera possible pour certains clients de «cotiser» à leur fonds enregistré de revenu de retraite (FERR) et de déduire ce montant de leurs revenus.En effet, les clients de 71 à 90 ans ont jusqu'au 29 février pour remettre l'excédent encaissé en 2015 en vertu de l'ancien taux minimum de retrait du FERR, qui est passé de 7,38 % à 5,28 % pour le détenteur de 71 ans lors du budget fédéral d'avril 2015.

  • 15 février 2016 15 février 2016
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Les règles de divulgation découlant de l'application de la deuxième phase du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2) ne tiennent pas la route, selon Yvon Charest, président et chef de la direction d'iA Groupe financier.Le dirigeant prône en effet de dévoiler l'ensemble du ratio de frais de gestion (RFG) plutôt que de divulguer seulement les frais et la rémunération liés à la distribution de valeurs mobilières.

  • 1 février 2016 1 février 2016
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Un avis publié par l'autorité des marchés financiers (AMF) le 7 janvier dernier relance le débat sur l'incorporation des conseillers en placement et en épargne collective. L'avis rappelle que toute rémunération générée par des activités en valeurs mobilières doit obligatoirement être versée à une personne (société ou individu) inscrite en vertu de la Loi sur les valeurs mobilières (LVM). Ainsi, un représentant incorporé ne peut toucher aucune rémunération qui découle de ses activités en valeurs mobilières.

  • 1 février 2016 1 février 2016
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TOP 25 2015 - Quand industrielle alliance a fait son entrée en Bourse en 2000, la compagnie avait un actif sous gestion de 13 G$, et de nombreux intervenants doutaient de son avenir. Aujourd'hui, son actif sous gestion et sous administration est de 111,2 G$, et elle compte 4 millions de clients et 5 100 employés. L'assureur, qui s'est rebaptisé iA Groupe financier (IA) en février 2015, rivalise avec les plus grands.Le groupe occupe maintenant le 4e rang au Canada sur le plan des ventes et de l'en vigueur en assurance individuelle, le 3e rang en matière de ventes de fonds distincts, le 5e rang pour les ventes d'assurance collective, et le 4e rang sur le plan des ventes et de l'en vigueur en régimes d'épargne collective et de retraite collective.

  • 1 février 2016 13 novembre 2019
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