Seulement 27 % des travailleurs de 18 à 44 ans contribuent à un régime enregistré d'épargne études (REEE) pour leurs enfants, selon un récent sondage de l'organisme indépendant Question Retraite, présenté lors du dernier Colloque retraite, placements et gestion de patrimoine, à Québec.Le REEE arrive bon dernier parmi tous les produits d'épargne que détiennent les plus jeunes travailleurs. Ces derniers privilégient d'abord le REER (55 % des répondants), puis le régime collectif de leur employeur (52 %), le CELI individuel (37 %) et les placements non enregistrés (36 %).
Le financement participatif en capital devra faire ses preuves avant de prendre une part de marché importante aux conseillers en placement. L'entrée en vigueur de la nouvelle dispense de prospectus pour les petites et moyennes entreprises en 2016 sera l'occasion de voir si cette forme de financement est viable.À compter du 26 janvier 2016, les PME et les petites sociétés publiques pourront lever jusqu'à 1,5 M$ par an auprès des investisseurs de détail sans produire de prospectus, selon une nouvelle dispense (Règlement 45-108) accordée en novembre dernier par l'Autorité des marchés financiers (AMF). La limite d'investissement individuelle pour les investisseurs non qualifiés est fixée à 2 500 $ par campagne de financement.
Cours sur la gestion du stress, sur la gestion du temps, sur l'art d'aménager un bureau sans papier... qu'ont en commun ces formations ? Offertes sur le site Internet Campus-finance.com, elles donnent aux représentants des unités de formation continue (UFC) qui leur permettent de conserver leur permis d'exercice.Voilà qui peut être utile, mais alors que les représentants encadrés par la Loi sur la distribution de produits et services financiers (LDPSF) subissent l'impact de profonds bouleversements, notamment en matière de conformité et de changements fiscaux, est-ce pertinent à l'exercice de la profession de représentant ?
IA groupe financier (IA) augmente la cadence dans l'expansion de son réseau de distribution de produits financiers et d'assurance, tant au Québec qu'en Ontario. Pas moins de cinq sociétés sont passées dans le giron de ce grand groupe financier depuis septembre. Faut-il craindre pour l'indépendance des conseillers ?Courtiers en épargne collective, en valeurs mobilières, agents généraux en assurance de personnes... Le groupe établi à Québec cible tous les secteurs dans une série de transactions dont les détails n'ont pas été dévoilés. «L'idée est d'augmenter sa taille critique et d'assurer une présence de ses produits sur les tablettes de ces réseaux», dit
Décrocher un contrat d'un grand donneur d'ordres est le rêve de bien des entrepreneurs, mais cette ambition peut ruiner l'entreprise si certaines règles de base ne sont pas respectées.On n'avait pas assisté à ce genre de cérémonie au Québec depuis longtemps : la bénédiction d'une nouvelle usine par nul autre que le cardinal Jean-Claude Turcotte, accompagné du ministre du Travail, Laurent Lessard, de la mairesse de Baie-D'Urfé et du président de Tomasso-Cordon Bleu, Jean-Robert Ouimet. Nous sommes en 2006, et personne à l'époque ne se doute que six ans plus tard, cette usine de production de mets italiens surgelés fermera ses portes et sera mise en vente «pour 1 dollar»... Non par la volonté de Dieu, mais par celle de Loblaw.