Les huit premiers mois de 2019 ont été fructueux pour les indices boursiers. Le S&P/TSX et le mythique Dow Jones ont accumulé un rendement de 16,5 % depuis le début de l’année. Un résultat non négligeable, pourtant l’Indice Québec 30 les bat de loin.
En matière de frais et de dépenses, les États-Unis, l’Australie et les Pays-Bas sont les meilleurs élèves de la planète finance, tandis que la Canada améliore sa performance et passe sous la moyenne mondiale, selon une étude publiée mardi par Morningstar.
Les banques américaines se remettent à construire des obligations hypothécaires, cherchant plus particulièrement à raviver le « private-label market », qui avait pratiquement disparu après son explosion pendant la crise financière de 2008.
En raison de l’incertitude des marchés, la situation géopolitique et les nouvelles règles fiscales internationales, la majorité des Canadiens fortunés (53 %) s’intéressent davantage à assurer la pérennité de leur patrimoine qu’à accroître leurs richesses.
Les marchés financiers sont tellement fascinés par les tweets du président américain que J. P. Morgan a créé un indice pour évaluer les répercussions qu’ils engendrent, rapporte l’Associated Press.
Le montant des prestations versées par les assureurs de personnes canadiens a augmenté de 6,5% en 2018, pour atteindre 98 milliards de dollars (G$).
Le stress financier que subissent un nombre croissant de Canadiens les empêche souvent de donner leur plein potentiel, ce qui se répercute sur leurs employeurs et l’économie en général, selon l’Association canadienne de la paie (ACP).
Les institutions financières veulent être plus active en matière de prévention du cyberrisque, révèle un sondage.
C’est le constat établit par l’Institut Fraser.
Entre les guerres commerciales, le ralentissement économique mondial et la volatilité des marchés, bien des investisseurs sont tentés de cristalliser leurs gains et de se retirer tranquillement de la Bourse. C’est hors de question pour la gestionnaire de portefeuille Joanna Kwok.