Les conseillers doivent bien comprendre les cordes sensibles de leurs clients.Les clients fortunés ont beau tous avoir un actif à investir élevé, leurs profils et leurs comportements diffèrent les uns des autres. Quelques tendances émergent toutefois chez eux, selon des professionnels interrogés.«Ils ont tendance à avoir de l'aversion pour le risque. Ce ne sont pas des ultra-riches, donc ils souhaitent conserver et protéger le capital qu'ils ont accumulé pendant des années de travail», explique Lewis Rosen, conseiller en placement chez Rosen Group Private Wealth Management, affilié à Raymond James.
Connaître son client, c'est nécessaire, mais se connaître soi-même, c'est aussi un atout pour tout professionnel des services financiers, selon Claire Landry*, psychologue organisationnelle et formatrice lors du congrès annuel de l'Institut québécois de planification financière (IQPF).Finance et Investissement (FI) : Lors de la formation, vous expliquez le rôle du cerveau sur les décisions financières. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Plusieurs modes de rémunération des conseillers en assurance de personnes sont sous la loupe de l'Autorité des marchés financiers (AMF). Le régulateur juge à risque élevé de conflits d'intérêts les concours de vente liés à des produits ou la bonification associée à un seuil de performance, notamment, et à risque moyen les commissions.Pour orienter ses activités de surveillance et d'encadrement, l'AMF consulte maintenant l'industrie sur la gestion des risques de conflits d'intérêts liés à la rémunération dans le secteur de l'assurance, selon un document de réflexion sur le sujet publié en juillet.
Le conseil des professionnels en services financiers (CDPSF) sera responsable de la formation continue des 7 400 représentants en épargne collective du Mouvement Desjardins.Les représentants de Desjardins auront ainsi accès à de la formation, en ligne et en salle, par l'intermédiaire du CDPSF et de sa plateforme web. À l'exception des formations réservées à la Chambre de la sécurité financière (CSF) et à l'Institut québécois de planification financière (IQPF), les représentants de Desjardins pourront obtenir l'ensemble de leurs unités de formation continue (UFC) grâce à ce partenariat.
FI RELÈVE - Les femmes ont besoin de la finance, mais la finance a, elle aussi, besoin des femmes. C'est le message que portait Sophie Palmer lors de son passage à la journée Femmes en mouvement 2017.
C'est maintenant chose faite, le Conseil des professionnels en services financiers (CDPSF) sera responsable de la formation continue des 7400 représentants en épargne collective du Mouvement Desjardins.
EN DIRECT DE L'IQPF – Connaître son client, c'est nécessaire, mais se connaître soi-même est aussi un atout pour tout professionnel des services financiers, selon Claire Landry, psychologue organisationnelle et formatrice lors du congrès annuel de l'Institut québécois de planification financière (IQPF).
Lorsqu'ils reçoivent une demande inhabituelle de la part d'un client âgé ou de son mandataire, les conseillers doivent se rappeler qu'ils ont le droit de prendre le temps de consulter leur service de la conformité.«Il est préférable de prendre un peu plus de temps pour vérifier la demande, parce qu'une fois que l'argent est parti, il est parti pour de bon», indique Danielle Tétrault, vice-présidente adjointe, examens de conformité, chez Groupe Investors.
Lorsqu'il a été fondé, en 1997, le Conseil des fonds d'investissement du Québec (CFIQ) voulait être la voix du Québec au sein de l'Institut des fonds d'investissement du Canada (IFIC). Près de 20 ans plus tard, l'organisme est devenu un interlocuteur pour le gouvernement du Québec et l'Autorité des marchés financiers (AMF).Robert Frances, président et chef de la direction du Groupe financier PEAK, a contribué à fonder le CFIQ : «J'étais au conseil de l'Institut des fonds d'investissement du Canada et j'étais aussi impliqué au sein de l'Association des courtiers indépendants multidisciplinaires (ACIM). Il était clair qu'il y avait des besoins des deux côtés : chez les émetteurs, soit les maisons de fonds, mais aussi chez les courtiers.»
EN DIRECT DU CFIQ – Lorsqu'ils reçoivent une demande inhabituelle de la part d'un client âgé ou de son mandataire, les conseillers doivent se rappeler qu'ils ont le droit de prendre le temps de consulter leur service de la conformité.