La Banque Nationale a affiché un bénéfice net de 362 M$ pour son deuxième trimestre, soit 1,01 $ par action, en baisse par rapport à celui de 417 M$, ou 1,20 $ par action, de la même période l'an dernier.
La Banque Scotia poursuit dans la même veine que la TD et la RBC. La plus internationale des banques canadiennes publie des résultats supérieurs aux attentes grâce aux activités canadiennes et à la gestion de patrimoine.
Dites adieu à la croissance vigoureuse. Avec le vieillissement de la population, le ralentissement de l’économie est inévitable, affirme Douglas Porter, économiste en chef de la Banque de Montréal (BMO).
Beaucoup de Canadiens n’auront pas le luxe d’utiliser leur remboursement d’impôt pour atteindre leurs objectifs financiers ou mettre de l’avant des projets personnels. Un cinquième des contribuables prévoyant recevoir un chèque du fisc va utiliser cette somme pour payer les dépenses courantes, selon un sondage de la Banque CIBC.
La Banque TD a battu les attentes des analystes tandis que l’acquisition de nouvelles cartes de crédit l’ont aidé à bonifier son bénéfice de 16% à 1,99 G$.
La Banque Royale du Canada (RBC) a dépassé les attentes des analystes grâce à des revenus record provenant de la gestion de patrimoine et de la vigueur de ses activités de courtage. La première banque du pays voit son bénéfice net progresser de 15% à 2,2 G$.
Après avoir connu la pire baisse depuis 1990 en février et mars, le prix des maisons s’est légèrement redressé dans la région de Montréal en avril, selon l’Indice Teranet-Banque Nationale, publié aujourd’hui.
La Banque CIBC concurrence d’autres firmes afin d'acquérir le gestionnaire de portefeuille américain Russell Investments. La transaction pourrait être de 3 G$US.
L’économie québécoise a repris le chemin de la croissance en janvier après deux mois de recul, selon les données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ). Le rythme est toujours moins rapide que dans le reste du Canada.
Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la hausse ses projections relatives à l'économie canadienne, mais demande aux dirigeants de la Banque du Canada de maintenir ses taux d'intérêt bas en attendant que les signes de reprise soient plus clairs.