La faiblesse soutenue des cours du pétrole brut continue de peser davantage sur certaines régions du Canada que d'autres, ce qui creuse un fossé au chapitre de la confiance des entreprises, a observé la Banque du Canada (BdC).
L'économie du Québec a beau reprendre un peu de vitesse au cours des trois premiers mois de l'année, une économiste du Mouvement Desjardins ne voit pas de quoi se réjouir.
Malgré la chute des prix du pétrole, les consommateurs québécois se sont endettés de façon plus prudente que leurs voisins ontariens et surtout les habitants des provinces de l’Ouest au premier trimestre.
Le produit intérieur brut (PIB) réel a diminué de 0,1% au premier trimestre, après avoir connu une hausse de 0,6% au quatrième trimestre de 2014, a annoncé vendredi Statistique Canada.
La Banque Scotia a affiché une faible croissance de son bénéfice au deuxième trimestre, mais a tout de même légèrement dépassé les attentes.
La croissance des activités bancaires aux particuliers et aux entreprises, ainsi que le fort bond de la rentabilité de la division liée aux marchés financiers a permis à la Banque CIBC de dépasser les attentes au deuxième trimestre. Celle-ci relève par ailleurs son dividende trimestriel.
La Banque du Canada émet une mise en garde sur la valeur du dollar canadien. Si la récente appréciation se poursuit, la banque centrale devra évaluer son impact, prévient-on dans un communiqué. Le taux directeur reste inchangé à 0,75%.
Lorsque la Banque du Canada a annoncé une baisse de son taux directeur en janvier, c’était pour contrer les effets potentiels de l’effondrement des cours du pétrole.
Les comptables occupant des postes de hauts dirigeants sont aussi pessimistes qu'ils l'étaient en 2009, selon une enquête de CPA Canada.
Statistique Canada a dévoilé le Produit intérieur brut (PIB) pour le premier mois d'un trimestre que Stephen Poloz, le gouverneur de la Banque du Canada, anticipe « atroce ». L'économie canadienne a légèrement reculé en janvier.