Les fonds communs de placement (FCP) de la firme de Québec R.E.G.A.R. Gestion Privée demeurent parmi les petits acteurs de cette industrie par la taille, mais pas par la performance ni l'ambition.Avec un actif sous gestion encore à la frontière des 100 M$, François Beaudoin, associé chez R.E.G.A.R., ne vise rien de moins qu'un objectif de 1 G$ dès 2020 pour cette division de la firme.
Le stratège boursier réputé François Trahan, qui conservait une vision positive des marchés depuis le début de 2016, prévoit depuis la mi-septembre une période de ralentissement de la croissance de l'économie américaine qui aura des conséquences plus sérieuses que par le passé.Selon l'associé de Cornerstone Macro, les conseillers et les portefeuillistes disposent d'un mois ou deux pour repositionner leurs portefeuilles de façon plus défensive.
Le stratège boursier François Trahan qui conservait une vision positive des marchés depuis le début de 2016 prévoit depuis la mi-septembre une période négative qui aura des conséquences plus sérieuses que par le passé.
Croître à un rythme annuel de 10 % dans une économie qui progresse de 2 % seulement, voilà le défi qui oblige les assureurs dont le siège social est situé à Québec et à Lévis à poursuivre leur développement à l'extérieur de la province.Ce constat s'impose de lui-même, selon Yvon Charest, président et chef de la direction d'iA Groupe financier, qui rappelle que sa société a été la première, en 1982, à courtiser des clientèles hors Québec, où elle mène maintenant 60 % de ses activités.
Il y a encore beaucoup d'occasions favorables à saisir pour les conseillers, malgré l'émergence d'outils technologiques comme les plateformes de conseil numérique - les robots-conseillers -, affirment deux expertes de l'industrie.En effet, il y a des limites à ce qu'un individu peut faire par lui-même, croient Renée Laflamme, vice-présidente exécutive, solutions d'assurances et d'épargne collectives, de iA Groupe financier (Industrielle Alliance), et Monique Gravel, directrice générale et chef de CIBC Wood Gundy.
Un mariage sur deux célébré dans la province se termine par un divorce, selon l'Institut de la statistique du Québec. C'est pourquoi le conseiller en sécurité financière doit s'attendre à ce qu'un client lui annonce un jour qu'il se sépare de son conjoint ou de son époux.Comment bien réagir ? D'après trois experts interrogés, en revoyant toute la planification d'assurance déjà en place et en révisant les testaments des ex-conjoints.
À défaut de rendements satisfaisants dans les placements traditionnels en obligations et en actions, les investisseurs institutionnels se tournent de plus en plus vers les stratégies alternatives et les actifs réels, comme les infrastructures.L'infrastructure, c'est l'univers des édifices à vocation sociale comme des hôpitaux et des prisons, des routes et des ponts à péage, des aéroports, des pipelines, de la production d'énergie renouvelable et divers autres équipements à vocation publique.
«Le marché canadien des titres à revenu fixe offre peu d'occasions aux investisseurs en partie à cause du grand nombre de gestionnaires indiciels», a indiqué Denis Senécal, premier vice-président et chef des placements, titres à revenu fixe canadiens, chez BMO Gestion mondiale d'actifs lors d'un colloque du Cercle finance du Québec et de l'Association CFA Québec, à Québec en novembre.Puisque ce marché est peu diversifié et peu liquide, selon lui, les gestionnaires de caisses de retraite doivent donc innover en considérant une gestion active qui inclut des stratégies multiples, tout en portant une attention particulière à la gestion des risques.
Une hausse éventuelle des rendements obligataires risque de nuire à la performance de la portion de titres à revenu fixe du portefeuille des clients, selon l'ampleur et la vitesse de cette augmentation.Les nouveaux retraités sont ainsi partagés entre deux options : conserver leur portefeuille d'obligations ou acheter une rente, résume Pierre Juneau, planificateur financier chez SFL Placements, à Sainte-Foy.
les investisseurs institutionnels accordent une importance croissante aux actifs réels, aussi appelés «tangibles», qu'il s'agisse d'infrastructures dans les domaines de l'énergie, des transports et des services publics, ou encore d'immeubles commerciaux, administratifs, industriels et multirésidentiels.Mathieu Goulet, conseiller en placement au Régime de retraite de l'Université du Québec, constate depuis quatre ou cinq ans une forte augmentation de la demande d'investissements en infrastructure, tandis que le secteur de l'immobilier est plus mature.