Des spécialistes prévoient que d'ici cinq ans, les assureurs canadiens proposeront une offre intégrée d'assurance sur le Web à l'employé par l'intermédiaire de l'employeur. Le virage est déjà bien amorcé aux États-Unis.« Oui, ça s'en vient », prévoit René Hamel, ancien PDG de SSQ Groupe financier aujourd'hui à la retraite.
La première présidente de l’histoire de l’ACCAP-Québec, Lyne Duhaime, trace un bilan positif de sa première année en poste. Elle souhaite continuer à mieux faire connaître son organisation, notamment en regard de certains dossiers importants.
Tandis que le secteur de l'assurance générale a fait de grands pas en automatisant ses processus administratifs, celui de l'assurance de personnes tarde à prendre le même virage, malgré la volonté de certains spécialistes.«Il n'y a pas eu une très grande innovation au cours des dernières années», reconnaît Stéphane Rochon, vice-président, innovation de produits et distribution, de Munich Re Canada.
Le président d'iGeny et du cabinet de services financiers Diversico, Daniel Guillemette, fonctionne à la vitesse grand V et se portera acquéreur de trois cabinets dès septembre.
Le domaine des services financiers joue un rôle clé dans l'économie canadienne depuis plus de dix ans, et représentait 4,4 % de l'emploi direct et 7 % du PIB en 2015, selon le Conference Board du Canada.
En assurance soins de longue durée (ASLD), les ventes stagnent. Certaines stratégies contribuent à vaincre les réticences de la clientèle.«Je ne connais personne qui a envie d'entendre : "Quand vous serez en perte d'autonomie..." Je dis plutôt à mon client que lorsqu'il aura besoin de soins quotidiens, il recevra une rente mensuelle qu'il dépensera comme bon lui semble», conseille Nathalie Tremblay, chef de produits, Prestations du vivant chez Desjardins Sécurité financière (DSF).
Le gouvernement du Québec s'adresse une fois de plus à la Cour d'appel du Québec afin qu'elle se prononce sur la validité constitutionnelle de la loi qui donnera naissance au régime coopératif de réglementation des marchés des capitaux.Si Québec espère avoir gain de cause dans ce dossier (http://bit.ly/1hsq6rZ), il devra miser sur deux arguments clés, le risque systémique et la coopération, mentionnés par le jugement de la Cour suprême de 2011.