Les Canadiens sont de plus en plus endettés. Ce qui ne les empêche pas pour autant de mettre de l'argent de côté alors que le Canada vient au 15e rang des pays où l'on épargne le plus.
Les activités de réglementation et d'encadrement de l'Autorité des marchés financiers (AMF) sont bien connues des institutions et autres organisations financières québécoises. Son rôle sur la scène internationale l'est beaucoup moins, constate son pdg Louis Morisset, qui a profité de la tribune du Cercle de la finance internationale pour faire valoir ce volet méconnu de l’organisation.
Les travailleurs doivent de nouveau s'attendre à de modestes hausses de salaires l'an prochain. C'est toutefois le domaine de la finance, des assurances et de l’immobilier qui devrait profiter des plus fortes augmentations.
Les milieux financiers et économiques ont accueilli favorablement la mise à jour économique présentée par le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão, et l’état des finances publiques qui affichent un surplus budgétaire de 2,2 milliards de dollars (G$).
La Banque du Canada a revu à la baisse ses prévisions d’inflation. Or, « les autorités monétaires n'hésiteront pas à réduire le taux cible des fonds à un jour si jamais la remontée anticipée de l’inflation devait faire faux bond », estime Benoit Durocher, économiste principal au Mouvement Desjardins.
FI RELÈVE – An-Lap Vo-Dignard baigne dans le secteur financier depuis plus de 20 ans. Avec un plaisir et un intérêt tout aussi grands qu’à ses débuts.
Des centaines de milliards de dollars fructifient à l’abri de l’impôt dans les paradis fiscaux. Au vu et au su non seulement des États qui font preuve de complaisance, mais aussi des contribuables canadiens qui en profitent ou jouent à l’autruche devant l’iniquité de l’évitement fiscal et de l’évasion fiscale.
Les investisseurs en titres à revenu fixe qui ont spéculé sur une remontée des taux en ont pris pour leur rhume ces dernières années. Un tel scénario ne doit pas pour autant être négligé, prévient Desjardins dans sa récente analyse des marchés obligataires.
La popularité du régime-enregistré d’épargne-étude (REEE) ne se dément pas. Or, emprunter pour cotiser davantage à ce régime peut aussi s’avérer une stratégie rentable pour certains clients.
Ça ne change pas le monde, mais un gain à la loterie inciterait de nouveaux millionnaires à faire des dons à une oeuvre de bienfaisance ou à établir une fondation personnelle.