Les actions européennes ont réagi favorablement cette dernière année aux progrès accomplis dans la résolution de la question de la dette des nations et des problèmes de productivité. Voici ce que trois gestionnaires de fonds avaient à dire sur l'état du marché européen.
ENTREVUE AVEC UN GESTIONNAIRE - Les banques et les services de télécommunication sont un terrain de chasse de premier choix pour Mark Thomson de Beutel Goodman.
Il est difficile de trouver des sociétés de haute qualité versant des dividendes qui se négocient à des évaluations raisonnables, selon Darren McKiernan, vice-président et gestionnaire de portefeuilles mondiaux à Invesco Canada.
Plusieurs grandes sociétés de services financiers américains sont bon marché, selon Emory Sanders, gestionnaire de portefeuille principal et spécialiste des actions américaines auprès de la section américaine de Gestion d’actifs Manuvie.
Selon Peter Frost, vice-président et gestionnaire de portefeuille auprès de Placements AGF, le rendement des actions pourrait être plus terne au cours de la deuxième moitié de l'année, mais elles surclasseront probablement encore les obligations.
Matthew Strauss de CI parle d'écarts d'évaluation grandissants avec les marchés développés.
Jason Gibbs, vice-président et gestionnaire de portefeuille à GCIC Ltée, est d'avis que les sociétés immobilières, les prestataires de services de télécommunications, les oléoducs et les chemins de fer, au Canada comme aux États-Unis, continuent à représenter des avoirs de choix pour un portefeuille d'actions cherchant à la fois à générer un niveau élevé de revenu de dividendes et à préserver le capital.
Selon le gestionnaire Gavin Ivory de Beutel Goodman, il est nécessaire d'être sélectif.
Dans cette troisième et dernière partie de la table ronde de Morningstar sur les placements à revenu fixe, des gestionnaires discutent de différents segments du marché canadien et de la manière dont ils positionnent les mandats de leurs fonds phares.
Dans cette deuxième partie de la table ronde de Morningstar sur les titres à revenu fixe, les gestionnaires évaluent les compromis entre rendement et qualité du crédit, ainsi que les mérites relatifs des obligations par rapport aux actions dans une conjoncture aux taux d'intérêt faibles.