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GUIDE DU MRCC 2 - Carmen Crépin de l'OCRCVM fait le point sur les nouvelles obligations des conseillers et des firmes de courtage prévues par MRCC 2.

  • 24 octobre 2014 11 novembre 2019
  • 15:15

Les contrats de travail des conseillers de plein exercice sont de plus en plus complexes. Les firmes de courtage tendent à resserrer les clauses qui visent à assurer qu'elles ne perdront pas de clients au départ d'un conseiller.L'engouement des conseillers et des clients pour les médias sociaux pousse même certains employeurs à changer la formulation de ces dispositions. Ainsi, une clause de non-sollicitation peut se muer en une clause de non-communication.

  • 15 octobre 2014 15 octobre 2014
  • 00:00

Un investisseur canadien ne devrait tout simplement pas couvrir les fluctuations des devises de son portefeuille d'actions internationales, selon Dan Bortolotti, blogueur et conseiller chez PWL Advisors, à Toronto.«Même si les opérations de couverture de change n'engendraient aucun coût, ce qui est loin d'être le cas, il n'y a pas de véritable bienfait pour un Canadien à se protéger contre les fluctuations de devises quand il s'agit d'un portefeuille d'actions», dit-il. Ces coûts de couverture comprennent les écarts de suivi (tracking error), les frais de gestion, de rééquilibrage et de transactions.

  • 1 octobre 2014 1 octobre 2014
  • 00:00

penser qu'on pourra changer de firme tous les cinq ans pour faire un coup d'argent est une très mauvaise stratégie, selon Charles Martin, conseiller en placement chez Gestion de Patrimoine TD. Ce dernier a quitté BMO Nesbitt Burns en 2000 pour joindre RBC Dominion valeurs mobilières. En 2009, il faisait un transfert avec son partenaire chez TD.«À moins de n'avoir aucune croissance de sa clientèle, aller ailleurs prend énormément de temps et d'énergie, on risque de perdre des clients, sans parler de la croissance de l'actif qui est nulle pendant plusieurs mois. Même la vie personnelle en souffre», soutient-il.

  • 1 août 2014 1 août 2014
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certains conseillers en placement sont régulièrement sollicités pour changer de cabinet. Les firmes de courtage leur font miroiter la possibilité de développer leur clientèle et de répondre à leurs attentes. Certains font le saut, mais ce transfert comporte des risques, tant pour le conseiller que pour son nouvel employeur.Pour les firmes de courtage, la meilleure façon d'accroître leurs parts de marché consiste à recruter un représentant et son équipe chez un concurrent, selon Julie-Martine Loranger, avocate associée au cabinet McCarthy Tétrault.

  • 1 août 2014 1 août 2014
  • 00:00

Chaque semaine au Québec, des conseillers changent de firme. Parfois, ces transferts prennent la forme d'une fusion, ou bien la concurrence déniche à la pièce un conseiller ou une équipe qui gère un actif important. Dans tous les cas, une négociation s'engage entre les partis. Ces contrats de travail prévoient souvent des primes d'engagement et des clauses alléchantes pour les nouveaux venus. Les clients n'ont d'ordinaire aucune connaissance de ces tractations. Plusieurs sont mis devant le fait accompli.Les Américains ont décidé d'intervenir sur ce sujet. La Financial Industry Regulatory Authority (FINRA) a présenté l'automne dernier un projet de loi (Rule 2243) qui requiert la divulgation par les conseillers de toute rémunération différée découlant d'un transfert de firme. Cette nouvelle obligation comprendrait la divulgation des «bonis de signature» qui atteignent souvent les sept chiffres au pays de l'oncle Sam.

  • 1 juillet 2014 1 juillet 2014
  • 00:00

GUIDE FNB - Le bêta intelligent ou smart beta est la nouvelle expression à la mode dans l’industrie du placement. Selon des spécialistes comme Rick Ferri, chroniqueur de Forbes et expert de la gestion indicielle à faible coût, ce terme est avant tout un outil de marketing pour attirer les investisseurs.

  • 26 juin 2014 26 juin 2014
  • 07:42

GUIDE FNB - Que faire dans un contexte où les taux d’intérêt sont à leur niveau le plus bas depuis l’après-guerre, et qu’ils remonteront certainement un jour ou l’autre ? Certains spécialistes invitent les épargnants à jouer de prudence et à investir dans des obligations de courte échéance.

  • 11 juin 2014 11 juin 2014
  • 09:37

DOSSIER FNB - Le risque de liquidité est parfois mal compris des conseillers. D’après une étude publiée l’automne dernier par PricewaterhouseCoopers, près de 70 % des promoteurs de fonds négociés en Bourse (FNB) sondés affirment que les conseillers confondent très souvent le volume de négociation d’un FNB avec sa liquidité.

  • 4 juin 2014 4 juin 2014
  • 15:23

Le client qui souhaite diversifier son portefeuille en investissant au sud de la frontière pourrait payer des frais de conversion de devises élevés.Pour acheter des actions ou des fonds négociés en Bourse (FNB) sur le marché américain, il devra convertir ses dollars canadiens en billets verts. À moins bien sûr qu'il ait déjà des dollars américains dans un compte.

  • 15 février 2014 15 février 2014
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