Les déclarations d’initiés permettent de savoir ce que font les dirigeants des sociétés inscrites en Bourse avec leurs actions. Bien que des raisons personnelles puissent expliquer les transactions, certains investisseurs les analysent pour orienter leurs décisions de placement. Voici quelques transactions récentes dignes de mention.
L’économie canadienne continue de montrer des signes de faiblesse, qui devraient se traduire par un ralentissement de la croissance économique au quatrième trimestre. La situation n’est toutefois pas assez critique pour justifier davantage de détente monétaire. Sans surprise, la Banque du Canada maintient son taux directeur à 0,5%.
La Réserve fédérale (Fed) a beau reporter l’augmentation de son taux directeur, les plaques tectoniques de l’économie ont déjà commencé à bouger en conséquence. En reportant la prochaine hausse, la Fed a créé de l’incertitude, constate Paul Fenton, vice-président principal et économiste en chef de la Caisse de dépôt et placement du Québec.
Le ralentissement économique en Chine et la baisse des prix du pétrole forcent la Banque du Canada à revoir encore une fois ses prévisions économiques à la baisse. Sans surprise, la banque centrale laisse son taux directeur inchangé, lors de son annonce de jeudi matin.
Les déclarations d’initiés permettent de savoir ce que font les dirigeants des sociétés inscrites en Bourse avec leurs actions. Bien que des raisons personnelles puissent expliquer les transactions, certains investisseurs les analysent pour orienter leurs décisions de placement. Voici quelques transactions récentes dignes de mention.
La dette des ménages canadiens a atteint un nouveau sommet. La croissance du passif des ménages croît près de deux fois plus rapidement que leurs revenus disponibles, selon les données publiées par Statistique Canada.
La Réserve fédérale (Fed) n’a donné aucune indication sur ses intentions en vue d’une augmentation des taux d’intérêt, mercredi. Sans surprise, la banque centrale américaine maintient son taux directeur.
Le dollar canadien a touché un creux d’une décennie, mercredi. La baisse du taux directeur par la Banque du Canada, les spéculations sur une récession et le déclin du prix des ressources plombent le huard.
Les travailleurs québécois ont vu leur rémunération s'améliorer à un rythme beaucoup plus rapide que dans le reste du pays en avril, selon les données de Statistique Canada. Depuis un an, la rémunération hebdomadaire moyenne a augmenté de 4,5%.
La Banque Laurentienne a fait mieux que prévu, soutenue par les services aux entreprises. La banque régionale montréalaise a profité de l’occasion pour bonifier son dividende de 4%.