De janvier à la fin de mai 2013, l'actif des fonds négociés en Bourse (FNB) cotés au Canada a augmenté de 6,4 %, et pèse désormais près de 60 G$, selon le rapport d'Investor Economics sur les FNB et les fonds indiciels publié en juin 2013 (chiffres en date de mai 2013). De quoi réjouir les trois principaux émetteurs de FNB au Canada : Black-Rock Canada, BMO Asset Management et FNB Horizons.«L'entrée d'actifs dans les FNB est colossale. Depuis dix ans, la croissance est exponentielle. Ce phénomène est dû notamment aux frais de gestion moins coûteux que ceux des fonds communs, mais aussi, au travail réalisé par S&P et plusieurs autres institutions sur la part d'alpha ou le rendement additionnel par rapport aux indices. Les investisseurs s'aperçoivent qu'il est difficile de battre les indices de référence», explique Luc Lortie, vice-président et gestionnaire de portefeuille chez Richardson GMP Limitée.
Peut-on obtenir un rendement négatif après impôt avec un fonds négocié en Bourse (FNB) d'obligations ? C'est la question qu'un investisseur a posée à Justin Bender, gestionnaire de portefeuille adjoint, PWL Capital. La réponse est malheureusement «oui», expliquait-il sur son blogue le 17 février dernier (Can you earn a negative after-tax return on a bond ETF ?) Il s'est penché sur le sujet avec l'aide de Raymond Kerzérho, directeur de la recherche PWL Capital.Le problème vient des obligations à prime. «Une obligation à prime est une obligation qui se négocie à une valeur supérieure à sa valeur nominale, car son coupon d'intérêt est plus élevé que le rendement à l'échéance», expliquent Miguel Yargeau, planificateur financier et gestionnaire de placement agréé, et David Poliquin, conseiller en placement chez Brassard Goulet Yargeau Services financiers intégrés, inscrits auprès de Patrimoine Dundee. Avec Éric Brassard, Robin Lévesque et Vincent Bouchard, ils sont les auteurs de l'étude publiée en mai dernier : «Les obligations à prime : un cauchemar fiscal».
Selon une étude de linkedIn et de FTI Consulting sur les médias sociaux publiée en mai 2012 et citée par la Banque Nationale du Canada, «les conseillers qui ont fait du démarchage sur LinkedIn ont un taux de réussite de 62 %. Parmi eux, 32 % en ont tiré plus de 1 M$ en nouveau volume d'affaires.»Récemment, aux États-Unis, un conseiller chez Morgan Stanley a obtenu un compte de 70 M$ par l'intermédiaire du réseau social qui compte sept millions de membres au Canada et 225 millions dans le monde.
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Si vos clients sont préparés à cette éventualité, notamment en ce qui concerne la gestion de patrimoine et la planification successorale, il semble que les conseillers soient des cordonniers bien mal chaussés sur ce plan.Lorsqu'un conseiller tombe malade, qu'il est dans l'incapacité partielle temporaire d'exercer ses fonctions, mais qu'il dispose de toutes ses facultés cognitives, il peut décider de nommer un représentant pour le remplacer pendant son absence.
En septembre, l'académie du trésor fera son entrée dans certaines écoles de Montréal, de Cowansville et de Drummondville.L'initiative de Dominique Asselin, fondateur de l'Académie du trésor et planificateur financier dans une grande institution financière de Sherbrooke, prend de l'ampleur au Québec.«L'Académie du trésor est une entreprise philanthropique qui a pour but de concevoir et d'offrir gratuitement des séances de formation en finance adaptée aux jeunes de 10 à 20 ans», explique Dominique Asselin.
Scott MacKenzie est vice-président et directeur de succursale, service de conseils en placement internationaux à Montréal, RBC Gestion de patrimoine.Finance et Investissement (FI) : Qu'est-ce que le service de conseils en placement internationaux de Montréal ?Scott MacKenzie (S. M.) : Il s'agit d'un centre international spécialisé dans les valeurs mobilières pour les investisseurs étrangers. Nous travaillons en partenariat avec notre banque privée internationale. Nous sommes 35 employés au total au bureau montréalais, dont 26 conseillers qui oeuvrent pour RBC Dominion valeurs mobilières. Tous détiennent leur permis canadien de plein exercice. Au Canada, nous comptons trois centres de ce type. Outre celui de Montréal, nous avons un centre à Toronto et un autre à Vancouver.Les investisseurs étrangers ont la possibilité de placer leur argent au Canada ou à l'international. Par exemple, plutôt que d'investir directement dans le marché américain par l'intermédiaire de firmes comme JP Morgan ou Goldman Sachs, ils passeront par le Canada pour accéder aux Bourses américaines, tout en bénéficiant de la stabilité de la Banque Royale.
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