Qu'on se comprenne bien. Je ne veux surtout pas faire l'éloge de cet horrible mot qu'est «littératie», mais bien l'éloge de l'éducation financière.Dans les faits, chaque fois que j'utilise ce vilain mot, je suis obligé de l'expliquer. Surtout, j'ai l'air du gars qui veut se montrer plus fin que les autres, celui qui fait grand étalage de son savoir.
La moitié des travailleurs du Québec n'ont pas accès à un régime d'épargne-retraite privé en milieu de travail. On doit donc se réjouir de l'arrivée imminente des régimes volontaires d'épargne-retraite (RVER).L'industrie financière a d'autant plus de raisons d'être contente que le gouvernement du Québec a introduit la notion de distribution par l'intermédiaire des courtiers et des représentants.
Si vous faites partie du merveilleux monde de l'assurance, vous savez que le ministre des Finances et de l'Économie a lancé une consultation sur la révision de la Loi sur les assurances (LA), le 30 avril dernier.D'ailleurs, monsieur Nicolas Marceau, acceptait vos commentaires sur son rapport de moins de 100 pages sur l'application de la LA jusqu'à la fin du mois de juin.
Mourir cassé comme un clou ! Ne me dites surtout pas que je n'ai pas attiré votre attention avec un titre aussi percutant.Je suis convaincu que c'est exactement ce que pensait Stephen M. Pollan lorsqu'il a publié son livre Die Broke: A Radical Four-Part Financial Plan, en 1998. Un livre qui a influencé à certains égards ma vision de la retraite pendant plusieurs années.
Je ne vous apprends rien en vous disant que le grand défi d'un éditeur est de produire, billet après billet, un contenu pertinent et d'actualité pour ses lecteurs.Nous avons tous nos p'tits trucs. Pour ma part, j'utilise un chapeau dans lequel j'ai placé des billets avec différents sujets : conformité (un thème imposé par nos autorités de réglementation !), frais des FCP, FNB, rémunération sur honoraires, etc.
Soyez honnête. Combien d'entre vous misaient sur un éditorial sur le rapport D'Amours ? Probablement, la plupart. D'ailleurs, la caricature au bas de cette page vous a certainement envoyé sur une fausse piste.Eh bien, vous serez déçu. Pourquoi ? D'abord, parce que je veux prendre le temps de l'analyser, d'en comprendre les tenants et les aboutissants. Mais, entre vous et moi, la vraie raison, c'est que tout le monde en parle.
La situation frise le ridicule. C'est pourquoi je me sens obligé de sauter dans la mêlée. (Nous avons tous un p'tit côté super-héros !)Imaginez, le type qui est accusé d'avoir entravé le travail des enquêteurs de l'Autorité des marchés financiers (AMF) plaide coupable pour acheter la paix. Il conclut alors une entente avec le gendarme financier et paye même une amende «exemplaire» de 15 000 $, soit trois fois l'amende habituelle pour ce genre d'infraction. L'entente remonte à 2009.
Au moment de mettre sous presse (25 février), nous apprenons que Charline Gilbert, qui était la Conseillère émérite 2012 de Finance et Investissement, n'est plus à l'emploi de RBC Dominion valeurs mobilières. À suivre sur finance-investissement.com.