DONNÉES SUR LE CLIENT - Les Canadiens considèrent que les conseillers en services financiers qui leur apportent le plus de valeur sont des membres de leur famille ou des amis, ce qui accrédite l'idée que l'industrie des services financiers est fondée sur les relations, selon les résultats les plus récents d'un sondage pancanadien mené auprès des consommateurs et toujours en cours.Un tiers (33 %) des répondants affirment trouver une valeur supérieure ou une grande valeur chez les conseillers qui sont également des amis, alors que 35 % disent trouver une grande valeur chez les conseillers qui sont des membres de leur famille, selon la récente version de l'«Étude sur la zone de confort financier», menée par Credo Consulting, de Mississauga, en Ontario, en collaboration avec le Groupe Finance de TC Media, de Montréal (Finance et Investissement est publié par le Groupe Finance de TC Media).
Le robot-conseiller Wealthsimple lancera bientôt Wealthsimple pour conseiller, une plateforme pour les professionnels du placement qui pourront l'utiliser afin de servir des tranches particulières de leur clientèle.
DONNÉES SUR LE CLIENT - Les conseillers en services financiers devront faire des efforts pour accroître la confiance de leurs clients les plus âgés dans leur épargne-retraite, révèle un sondage réalisé auprès des consommateurs par Credo Consulting, une firme de Mississauga, en Ontario, en collaboration avec le Groupe Finance de TC Media, de Montréal, (Finance et Investissement est une publication du Groupe Finance, une propriété de TC Media)L'«Étude sur la zone de confort financier» des consommateurs a été réalisée en anglais et en français auprès de 12 000 Canadiens dans tout le pays. Le sondage en ligne vise à approfondir la connaissance des relations entre le conseil financier, le bien-être lié aux finances et la satisfaction globale de la vie dans la société canadienne. Les résultats seront divulgués périodiquement.
L'Association canadienne des courtiers de fonds mutuels (ACFM) répond aux préoccupations de ses membres relativement à la vente de fonds négociés en Bourse (FNB) et à la mise en oeuvre du Modèle de relation client-conseiller - Phase 2 (MRCC2).
DONNÉES SUR LE CLIENT - De nombreux clients semblent disposés à quitter leur conseiller, selon un nouveau sondage du cabinet ontarien Credo Consulting réalisé en partenariat avec le Groupe Finance de TC Media, qui publie Finance et Investissement et son pendant anglophone Investment Executive.Le sondage révèle également qu'un grand nombre de conseillers ont du pain sur la planche s'ils veulent démontrer que le service qu'ils offrent a une valeur ajoutée pour leurs clients. Ainsi, 18 % des épargnants canadiens sondés ont affirmé qu'ils reçoivent «à peine une juste valeur» pour leur argent, et 5 % se demandaient pourquoi ils paient leur conseiller.
Les conseillers doivent envisager troquer les importants revenus à court terme qui découlent de leurs clients plus âgés pour la croissance à long terme que pourraient leur apporter de nouveaux jeunes clients, selon une étude de la firme torontoise, PriceMetrix.
DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES - Que vous choisissiez de donner votre propre nom à votre firme ou que vous décidiez de lui donner une appellation plus à la mode, ce choix influencera l'ensemble de votre marque.
FI RELÈVE – En début de carrière, et en mode prospection, un jeune conseiller peut être tenté de prendre tous les clients qui se présentent à lui. Or, c'est une erreur, selon Sara Gilbert, consultante et fondatrice de Strategist(e), et voici pourquoi.
FI RELÈVE – Êtes-vous déjà tombé dans le piège des résolutions qui ne tiennent pas la route? La coach personnelle April Lynn Levitt a quatre trucs pour les jeunes conseillers qui veulent atteindre leurs objectifs en 2015.
DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES - « Lorsqu’on parle des détails que nous oublions le plus souvent, les noms sont souvent cités en premier », selon Bob Gray, propriétaire de Memory Edge Corp., situé à Whitby en Ontario.