Matinée de juin. marie Elaine Farley entre d'un pas rapide dans la salle de conférence de la Chambre de la Sécurité Financière (CSF) où elle rencontre Finance et Investissement. L'emploi du temps de la nouvelle présidente est chargé. La veille, elle dévoilait les résultats financiers de Bixi Montréal dont elle préside le conseil d'administration, et le lendemain, elle partira relever le Grand Défi Pierre Lavoie.Son temps est précieux, mais Marie Elaine Farley est heureuse. La Chambre, qu'elle préside depuis février, vient de remporter un important bras de fer contre la CIBC. L'institution financière ne fera finalement pas appel du jugement rendu en mai qui confirme les pouvoirs d'enquête de la CSF.
Le démarchage et la prospection de nouveaux clients sont deux des principaux défis des représentants en assurance de personnes. C'est ce que révèle le «Baromètre 2015 de l'assurance», un sondage qui mesure les principales tendances de l'industrie réalisé par Finance et Investissement.«La rémunération du conseiller est établie en fonction de sa commission, de son effort à rejoindre les clients. Si c'était facile, les commissions seraient drôlement moins élevées», indique Mario Grégoire, président du conseil et directeur général du Conseil des professionnels en services financiers.
La lutte à l'évasion fiscale s'intensifie à l'échelle internationale.En effet, l'Union européenne (UE) vient d'annoncer qu'elle envisage de se doter d'une assiette fiscale commune aux 28 États membres.De leur côté, les États-Unis et le Canada facilitent l'échange de données fiscales et coordonnent leurs efforts avec les initiatives de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
«Il faut aller chercher une expertise, une notoriété et une crédibilité pour montrer à notre industrie que nous nous prenons en main», indique Mario Grégoire, président du conseil et directeur général du Conseil des professionnels en services financiers (CDPSF).L'organisation, qui est devenue pleinement opérationnelle en octobre 2014 avec le transfert des 20 sections régionales de la Chambre de la sécurité financière (CSF), sait que les projecteurs sont braqués sur elle.
Le ministère des finances du Québec ouvre la porte à la vente d'assurance de personnes en ligne sans représentant dans son «Rapport sur l'application de la Loi sur la distribution de produits et services financiers (LDPSF)» (Loi 188) (http://tiny.cc/2q67zx) publié en juin dernier.À l'instar de l'Autorité des marchés financiers (AMF) - qui se montre favorable à la distribution d'assurance en ligne dans un rapport sur le sujet paru en avril dernier -, le ministère propose de s'inspirer des recommandations émises par le Conseil canadien des responsables de la réglementation d'assurance (CCRRA) sur le sujet.
Plusieurs acteurs de l'industrie ont demandé au ministre des Finances du Québec une prolongation pour réagir au Rapport sur l'application de la Loi sur la distribution de produits et services financiers (Loi 188), dont les éventuelles modifications chambouleront l'industrie. Carlos Leitão ne leur accordera finalement qu'un sursis de deux semaines.Le rapport très attendu sur l'application de la Loi 188 a été rendu public le 12 juin dernier, une heure avant la fin des travaux parlementaires de l'Assemblée nationale.
Banque Zag, banque virtuelle canadienne propriété du Mouvement Desjardins, collabore avec l’agence de publicité lg2 pour revamper son image. Son objectif: séduire des clients «jeunes d’esprit» qui cherchent une alternative au Big Five de l’industrie bancaire canadien.
EXCLUSIF - Au moins quatre des organisations les plus importantes des industries de la finance et de l'assurance demandent au ministre des Finances du Québec, Carlos Leitao, de repousser de plusieurs semaines la date butoir pour réagir au Rapport sur l’application de la Loi sur la distribution de produits et services financiers (Loi 188) publié le 12 juin dernier, a appris Finance et Investissement.
Des banques centrales européennes établissent des taux d'intérêt directeurs négatifs afin de stimuler l'économie, relever l'inflation et affaiblir leur taux de change. Inédite dans l'histoire financière, cette stratégie gagne en popularité. Elle suscite aussi beaucoup d'interrogations. Tour d'horizon.Le nombre de banques centrales européennes qui ont fixé des taux d'intérêt négatifs a augmenté au cours des derniers mois. Quatre banques centrales ont maintenant un taux d'intérêt sous la barre du 0 % : la Banque centrale européenne (BCE), la Banque Nationale suisse, la Banque de Suède (Riksbank) et la Banque Nationale du Danemark.
le gouvernement du Québec recommande d'alléger le fardeau réglementaire et financier des représentants et des cabinets, et d'indemniser davantage les victimes, selon le «Rapport sur l'application de la Loi 188 sur la distribution de produits et services financiers (LDPSF)», déposé en juin.Le rapport (http://bit.ly/1fde jx5) propose d'examiner la structure actuelle découlant de la Loi 188, selon laquelle tant l'Autorité des marchés financiers (AMF) que la Chambre de la Sécurité Financière (CSF) exercent un pouvoir réglementaire sur le représentant.