Les couples composés de lesbiennes, de gais, de bisexuels ou de transgenres (LGBT) se mobilisent depuis plusieurs décennies pour faire reconnaître leurs droits. Néanmoins, ils doivent encore tenir compte de certains obstacles dans leur planification financière.C'est ce qui ressort d'un rapport sur la question publié par l'Institut Info-Patrimoine BMO à l'occasion du Mois de la fierté gaie, en juin dernier (http://tinyurl.com/qg4vrpl).
Les révélations concernant l'important système de fraude fiscale qu'aurait orchestré la filiale suisse de la HSBC viennent gravement ternir l'image de l'industrie bancaire internationale. L'affaire, qui fait l'objet d'une enquête surnommée «SwissLeaks», pourrait mener à d'importantes poursuites.En effet, ce scandale déteint sur l'ensemble de l'industrie, affirme Margaret Hodge, présidente de la Commission des comptes publics du Royaume-Uni. «Les révélations concernant HSBC démontrent une fois de plus l'opacité d'une industrie mondiale au service d'une élite nantie», a-t-elle soutenu.
La décision de la banque nationale suisse (BNS) d'abandonner le taux plancher de 1,20 franc suisse pour un euro a provoqué une déferlante qui menace l'économie et le secteur financier de l'Europe.La hausse du franc suisse a été brutale. Sa valeur a bondi de 20 % le 16 janvier dernier, au lendemain de l'annonce de l'abandon du taux plancher. Cette flambée pourrait plonger la Suisse en récession, selon de nombreux observateurs.
La lente reprise économique de l'Europe pourrait être freinée par l'élection dans les prochains mois de partis politiques anti-austérité et d'autres partis qui remettent en question l'adhésion de leur pays à la zone euro et à l'Union européenne (UE).En Grèce, la forte popularité du parti de la gauche radicale Syriza témoigne bien du ras-le-bol des citoyens non seulement du pays, mais aussi de plusieurs autres États membres de l'UE. Ce parti a remporté les élections législatives du 25 janvier, sans toutefois obtenir la majorité absolue.
C'est fait. sans tambour ni trompette, la Chine est devenue la première puissance économique mondiale, dépassant les États-Unis qui étaient confortablement assis au sommet de la pyramide depuis 142 ans.Les analystes savaient que ce n'était qu'une question de temps avant que cela arrive. D'ailleurs, en 2013, la Chine avait accédé au rang de première puissance commerciale du monde.
L'Arabie Saoudite se livre à une guerre des prix du pétrole qui pourrait bouleverser l'économie canadienne et les activités pétrolières au pays.Le prix de l'or noir est en chute libre depuis juin. Sur le New York Mercantile Exchange, les cours du Light Sweet Crude Oil (WTI) sont descendus à la mi-novembre à un niveau qu'on n'avait pas vu depuis trois ans. Le prix du baril pour livraison en décembre oscillait alors autour de 77 $ US. C'est une baisse de 30 % par rapport au début de juin.
Rien ne laisse croire actuellement que l'épidémie d'Ebola aura un effet durable sur les marchés financiers, jugent certains analystes.Ils sont convaincus que la menace d'une propagation du virus Ebola à l'extérieur de l'Afrique s'estompera rapidement. D'ailleurs, plusieurs des secteurs d'activité touchés après l'annonce de premiers cas de personnes infectées aux États-Unis et en Europe, au début d'octobre, ont repris leur élan.
La nouvelle a eu l'effet d'une bombe dans l'univers financier : Bill Gross a quitté la Pacific Investment Management Company (Pimco) pour sa rivale Janus Capital, le 26 septembre dernier.La machine à rumeurs s'est aussitôt emballée. Qu'est-ce qui a poussé celui qu'on surnomme le «roi des obligations» à quitter le géant Pimco, la firme qu'il avait fondée en 1971 ?
CLIENTÈLES SPÉCIALISÉES - Plus de 55 000 immigrants s'installent au Québec chaque année. Si l'avenir démographique de la province passe par l'immigration, il en va de même pour celui des institutions qui font aujourd'hui des pieds et des mains pour accommoder les nouveaux arrivants.
Les questions économiques et financières ont tenu le haut du pavé durant la campagne référendaire menée au cours des derniers mois en Écosse.Rappelons que les Écossais ont rejeté le projet d'indépendance dans une proportion de 55,3 % lors du référendum du 18 septembre dernier.