GUIDE FCP 2019 - Canoe a créé un fonds qui bonifie les avantages des fonds constitués en sociétés.
Ils peuvent être pertinents pour les fonds qui détiennent du revenu fixe.
L'adoption des fonds de prêts privés s'accélère dans les marchés de plein exercice et dispensés. L'émergence de nouveaux produits dans cette gamme de fonds auparavant méconnue et nichée suscite l'intérêt d'un nombre grandissant de conseillers.Le prêt privé est notamment en augmentation parce qu'il prend une place que les banques n'occupent pas dans le marché. Depuis la récession de 2008, plusieurs réformes réglementaires ont eu un impact direct ou indirect sur la capacité de prêter des institutions financières.
DOSSIER FISCALITÉ - Les clients fortunés ont des préoccupations particulières, notamment en matière de planification financière et fiscale. Nous en traiterons trois ici : l'impôt successoral américain ; le décaissement ; et la planification successorale.Le conseiller bien au fait de ces questions pourra mieux servir ses clients aisés, et disposera aussi d'un atout concurrentiel pour recruter de nouveaux clients.
Au cours des derniers mois de l'année, la majorité des fonds communs de placement effectuent des distributions attribuant à leurs détenteurs les revenus et gains en capital (nets des pertes accumulées) réalisés par le gestionnaire au cours des 12 mois précédents. Lorsqu'un client détient des parts de fonds dans des comptes non enregistrés, il est important d'en tenir compte.Comme à bien d'autres égards, tous les fonds ne sont pas égaux en ce qui concerne leur probabilité de distribution de fin d'année.
DOSSIER FISCALITÉ - La vente ou l'achat d'une société soulèvent beaucoup de questions en matière de fiscalité et de décaissement. Les conseillers, sans être d'absolus experts en transferts d'entreprise, gagnent à connaître le sujet pour asseoir leur crédibilité auprès de leurs clients entrepreneurs.Bien qu'il y ait de nombreuses exceptions, notamment pour les entreprises qui ne sont pas incorporées, la vente d'une entreprise peut généralement se faire par l'intermédiaire d'une vente d'actions ou d'une vente d'actifs.
La liquidité quotidienne de certains produits fait perdre un peu de l'effet recherché de faible corrélation.
De plus en plus de firmes d'investissement emboîtent le pas aux investisseurs institutionnels en offrant des placements alternatifs. Que doit-on rechercher, et comment est-il possible d'émuler dans une certaine mesure le travail des caisses de retraite et des fonds de dotation en fonction du profil d'un client particulier ? Dans ce deuxième article d'une série de trois, nous allons aborder l'offre destinée aux investisseurs accrédités.En 2009, Bill Gross, alors chef de la direction de PIMCO, le gestionnaire obligataire le plus important du monde, nommait de façon préliminaire et avant-gardiste la période dans laquelle l'économie mondiale allait se trouver au cours du cycle qui s'entamait «la nouvelle normalité». Faible croissance du PIB et faibles taux d'intérêts pour une longue période, taux de chômage plus élevés que pour la moyenne des 40 dernières années, rendements boursiers aléatoires et volatils ; au lendemain de la crise, Bill Gross entrevoyait avec un certain pessimisme la reprise éventuelle des marchés. Au cours des sept dernières années, une bonne partie du pronostic s'est avérée. Et les particuliers s'adaptent résolument à ce contexte de diverses manières.
L'investissement alternatif est en vogue chez les investisseurs institutionnels. La raison en est simple : plusieurs caisses de retraite et fonds de dotation doivent composer avec des hypothèses de rendement difficilement soutenables dans le contexte actuel. Celui-ci reste marqué par des taux d'intérêt bas, des marchés des actions incertains et une influence accrue des politiques monétaires divergentes sur les marchés alors que celles-ci sont plus difficiles à cerner qu'auparavant.Dans ce premier d'une série de trois articles sur l'investissement alternatif, nous analyserons ce que font les investisseurs institutionnels.
La hausse des marchés des dernières années et la mise au rancart des opérations de requalification du budget fédéral de 2013 font des fonds structurés en (catégorie de) société n'effectuant pas de distributions de fin d'année une espèce en voie de disparition.Bien que l'industrie leur confère une aura de structure parfaitement efficiente sur le plan de la fiscalité, la majorité des fonds en société effectuent désormais des distributions. Ils sont appelés à en verser davantage au cours des prochaines années pour de multiples raisons.