Octobre en bourse tend beaucoup vers le gris et le noir. Les pressions actuelles sur le marché pointent en partie vers ces teintes, mais une analyse récente de Phases & Cycles pense que les marchés pourraient très bien percer la morosité apparente et, octobre passé, partir vers de nouveaux sommets.
La vie baigne dans l’incertitude, l’investissement tout autant. On ne peut pas enlever cette incertitude, mais on peut prendre de meilleures décisions face à elle. La façon d’y parvenir est de recourir à un processus mesuré, propose une étude de Richardson GMP intitulée Decision Making under uncertainty. Et un bon processus fait en sorte qu’on apprend à accroître les gains, à réduire les pertes.
Le Canada est proche d’avoir une note parfaite dans un classement international évaluant la compétence dans la vente de produits financiers complexes, mais il lui manque une pleine conformité pour un facteur d’évaluation.
L'industrie du conseil remarque une hausse du nombre de situations de maltraitance financière et de vulnérabilité dans la clientèle, notamment en raison du vieillissement de la population. Chaque cas est unique et le conseiller doit agir avec beaucoup de jugement et de doigté.
Le large éventail de titres procure une bonne diversification géographique.
Les perspectives demeurent cependant incertaines.
FOCUS SUR LES CONSEILLERS – Les conseillers de l'un ont besoin de leurs collègues ceux de l'autre, des meilleurs outils.
Les récentes propositions de révision du processus disciplinaire de l'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) ne passent pas comme une lettre à la poste.
Les gestionnaires prévoient qu'elles peuvent encore procurer des rendements d'environ 5 % à 6 %.
Bon nombre de conseillers craignent ses répercussions.