En cette fin de cycle, Nathalie Brunet privilégie les fonds qui ont un bilan satisfaisant.
Passer à la gestion active procure plus d'outils pour se protéger et accroître le rendement.
Bien des investisseurs souffrent d’une réaction nerveuse devant un afflux trop fréquent d’information. C’est ce que découvre un chercheur américain : les investisseurs qui reçoivent mensuellement des informations de performance sur leurs fonds communs font moins bien que ceux qui en reçoivent trimestriellement.
Chose rare, BlackRock a analysé 9 940 portefeuilles de conseillers financiers aux États-Unis, en portant attention surtout à leur teneur en risque. Il en ressort plusieurs observations instructives, notamment que les frais rattachés aux portefeuilles sont, contre tout attente, inversement proportionnels au niveau de risque qu’ils portent.
Le courtier à escompte américain Charles Schwab a inauguré il y a quelques mois un service d’abonnement inédit susceptible de trouver des émules au Canada.
MISE À JOUR - La chose n’est pas inédite, mais demeure inusitée : les notaires du Québec sont en voie de se regrouper en syndicat, l’Union des notaires du Québec, et demandent à s’affilier à la FTQ.
FI RELÈVE - La difficulté à comprendre l'information y serait pour quelque chose.
Un fonds négocié en Bourse (FNB) obligataire à gestion passive transforme un titre à revenu fixe en une action négociée en Bourse. Cela entraîne quelques effets secondaires dont tout investisseur doit être sérieusement averti, jugent plusieurs spécialistes du secteur obligataire.
Dans un contexte de forte concurrence, les manufacturiers de fonds abaissent constamment les frais de gestion qu'ils appliquent, notamment en offrant des tarifs préférentiels aux clients mieux nantis.
L'investissement factoriel est très populaire depuis quelques années. Trop, juge la firme californienne Research Affiliates (RA), qui vient de publier une étude invitant les investisseurs à abaisser leurs attentes quant aux fameux «facteurs».